Pour tout ce que nous avons déjà

"Être reconnaissant envers autrui, pour ce que l'on est, pour ce que l'on possède, est bien plus qu’une vertu ou qu’une qualité...

c'est un état d’esprit permettant de reconnaître que l'on est redevable pour ce que nous possédons, pour ce que les autres font pour nous, pour ce qui nous entoure. C’est apprécier autrui, s’intéresser aux autres et admettre la valeur de l’autre. La gratitude est le sentiment qu'on éprouve pour chaque cadeau de la vie, chaque service rendu, une bénédiction dont on se sent reconnaissant. Une attitude valorisant la gratitude vous offre l’accès au Bien-être. 

La gratitude est l’inverse de la culpabilité, du regret et du désespoir, appréciez les choses plutôt que de vous plaindre de ce que vous n’avez pas. La gratitude attitude permet de regarder l’avenir positivement puisque vous savourez tout les bons moments, appréciez la nature et votre cadre de vie, donnez de l’importance aux gens et au final vous aimez la vie grâce à un sentiment de bonheur et de plénitude. 

La gratitude attitude, c’est aussi apprendre à ressentir le plaisir dans le fait de donner en remerciant intérieurement le bénéficiaire de votre générosité. Grâce à lui, vous pouvez exprimer un acte de générosité et vous montrer sous votre meilleur jour. La gratitude attitude vous offre la capacité d’apprécier la richesse de l’échange et du partage dans toute sa grandeur. 

Apprenez à être reconnaissant et vivez la gratitude attitude chaque jour. Vous accéderez à tous vos désirs. En vivant dans un état de gratitude, vous allez attirer les éléments les plus positifs, c’est la loi d’Attraction !"


Qui croira cela?

Revenir sans attendre

Une femme d’environ 40 ans est assise en face de moi. Elégante et douce, elle attend l’air un peu grave que l’entretien commence. A peine avait-elle franchi le seuil de la pièce, que différentes impressions s’étaient imposées. Pour moi, elles sont autant d’informations concernant la personne et, aussitôt installé, je commence à les lui traduire sous forme d’images et de phrases clés. Mais au bout de quelques minutes, une sensation de froid envahit la pièce, c’est l’un des signes quand l’au-delà veut communiquer avec les vivants. La personne le ressent également et m’interroge du regard. C’est alors qu’une silhouette féminine d’une grande luminosité irradie dans mon champ de vision. En quelques instants, une jeune fille se présente très distinctement. Je sais que je suis seul à la voir et une émotion s’empare de moi. Sa jeunesse est éclatante et sa beauté tellement rayonnante que lui donner un âge n’a pas vraiment de sens ; mais je sais qu’elle est jeune. Elle me dit que la personne en face de moi est sa maman et, avec une profonde délicatesse, elle me souffle : "Acceptez-vous d’être mon intermédiaire ?" Elle ne m’impose rien, mais sa demande est si simplement formulée que j’accepte volontiers. Cette qualité vibratoire augure souvent d’un contact important et rare.

Ici et maintenant

Je décris la présence vibratoire d’une jeune fille à la femme en face de moi et je la préviens que j’ai accepté d’être l’intermédiaire entre elles deux. Quelques mots suffisent aux retrouvailles : "C’est ma fille, c’est ma fille qui est morte il y a deux ans", me lance la maman soulagée. Et comme si l’émotion ne devait pas altérer ce dialogue fragile, la jeune fille me dit : "Dites-lui que je n’ai pas souffert dans l’accident d’auto car pour elle, j’ai été brûlée vive. En réalité, je suis morte sur le coup et j’ai été instantanément projetée hors de mon corps physique. Je ne me suis pas vu brûler, pour moi cela n’existe pas. Je me suis retrouvée ailleurs dans une clarté extrêmement apaisante. J’ai tout de suite su, sans même me poser de question, que j’étais morte. Et j’ai compris, mais sans en être bouleversée, que ma meilleure amie, assise avec moi à l’arrière du véhicule, était morte également. C’est en voulant regarder le film de ma vie et en me rapprochant de mes parents que j’ai su leur douleur de me croire brûlée vive. Mais ce n’est pas la réalité."

Des paroles d’amour d’un immense réconfort continuent de jaillir d’un cœur d’enfant pour sa mère : la vie de ses parents allait changer, ils sont jeunes, ils vont avoir un autre enfant et c’est elle qui, de nouveau, va s’incarner. Et la mère de m’interroger : "Comment cela peut-il être vrai, comment cela peut-il se faire et pourquoi ?" La réponse de sa fille, aussi fulgurante qu’inattendue, fuse : "Parce que je vous ai adorés, parce que j’ai eu en vous les meilleurs parents du monde, je vous aime tellement, je ne peux pas accepter de vous quitter. Aussi, pour être certaine de vous retrouver comme parents, ai-je demandé à revenir maintenant, sans attendre qu’une autre vie nous réunisse. Je veux que ce soit vous qui soyez encore mes parents, dans ce que vous représentez maintenant, dans votre psychologie actuelle et dans votre vie actuelle." La mère éclate dans un sanglot à déchirer le cœur et, de sa voix hoquetante, elle m’avoue qu’elle est enceinte de trois mois. L’émotion est à son comble et je ne parviens plus à conserver l’état de réceptivité voulu ; je perds le contact avec la jeune fille.

Le Ciel sur Terre

Quelques mois plus tard, arrive à mon rendez-vous une femme poussant un landau dans lequel sommeille un nouveau né. "Vous me reconnaissez ?" Comment oublier cette éblouissante histoire d’amour ? Un frisson me parcourt. Je me penche vers l’enfant qui ouvre alors les yeux : nos regards se croisent et je capte la même force, la même détermination et la même pureté que dans le regard de la jeune fille. A-t-elle reconnu ma voix ? Je la remercie mentalement de ce moment de pur enchantement.

La maman est émue par la scène et m’avoue que notre première rencontre l’avait libérée d’une situation qui la rongeait depuis l’accident de sa fille. En effet, elle était en procès avec le jeune conducteur qui avait perdu le contrôle du véhicule parce qu’il était ivre. Elle lui en voulait d’être vivant et avait déclenché une procédure qui traînait en longueur parce que la famille du jeune homme avait des relations haut placées. Mais quand sa fille est intervenue, elle lui a dit qu’il n’y était pour rien, qu’il n’avait été qu’un instrument du destin et même que l’accident n’avait pas eu lieu à cause de l’alcool. Elle lui avait aussi précisé qu’elle n’imaginait pas la souffrance qui poursuivrait ce garçon jusqu’à la fin de ses jours. Elle ajoutait qu’elle ne gagnerait jamais ce procès et qu’elle ferait mieux de s’occuper du dossier que la compagnie d’assurance négligeait de faire suivre, profitant du trouble de la famille et de l’énergie qu’elle mettait dans le procès.

A la suite des paroles de sa fille, la mère retira sa plainte et constata après coup l’extrême désarroi du jeune homme qui vivait un véritable drame intérieur sous des apparences dégagées. Elle s’était ensuite concentrée sur l’assurance et découvrit un système mafieux. L’assurance finit par payer et l’argent arriva au moment de la naissance de la petite fille ! Ainsi, l’argent allait continuer de profiter à sa fille puisque de nouveau, elle était son enfant…

Naître de nouveau

Et la mère me dit : "Vous ne pouvez pas savoir comme ce bébé est gentil, adorable, sage. Bien sûr, lorsque je regarde les photos de ma fille décédée, quand elle avait le même âge, je retrouve quelques airs de famille, mais quand je l’ai dans mes bras et que je ferme les yeux, j’ai le même amour et je ressens de sa part l’amour que me portait ma fille. Je sais que c’est une continuité. Et si je ne l’avais pas su, je l’aurais quand même ressenti parce qu’un tel amour m’est aujourd’hui restitué puisque c’est la même âme. Alors forcément, ce chagrin et cette joie en même temps nous ont fait évoluer mon mari et moi. Ils ont changé nos valeurs et notre manière d’apprécier la vie. Nous sommes différents. Avec la mort de notre fille, nous sommes morts avec elle. Et avec la naissance de cet amour, nous sommes nés nous aussi à une autre vie. Depuis, nous vivons heureux et pourtant sans croyance, ni religion. Nous avons compris que notre histoire doit sans doute arriver à d’autres, mais la plupart n’ont peut-être pas le bonheur de savoir ce qui se passe et restent prisonniers de rancœur ou de haine. Mais pour nous, le Ciel est revenu sur la Terre et en plus, il nous est permis de le porter dans nos bras."
GProductions

L'énergie libre

"Il existe quelques inventeurs indépendants qui ont construit de telles machines et dont les résultats ont été publiés au grand jour et vérifiés, mais comme la communauté scientifique ne comprend pas les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en ignore tout simplement l'existence. Ainsi, tout va bien. Et le commun des mortels de se dire: si ça existait, on en aurait entendu parler. Posons alors la question: qui vous en aurait parlé? Prenons l'exemple de la machine à énergie libre de Joseph Newman, un inventeur américain professionnel. Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d'ingénieurs bardés d'instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l' annoncé (c'est même cette équipe qui a calculé le rendement de 800%), sans aucune supercherie d'aucune sorte, ni source d'énergie cachée. Mais, étant donné qu'il n'existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de la machine, ce même bureau des brevets l'a informé qu'il ne pouvait donc pas délivrer de brevets. Point final : question réglée. Imaginez donc de quelle curiosité scientifique ils font donc preuve? Devant l'insistance de l'inventeur qui se bat depuis 18 ans pour faire reconnaître son invention, une commission d'étude composée de physiciens compétents s'est réunie en présence de Mr Newman, mandatée pat les organismes officiels pour désavouer son invention, mais c'est le contraire qui s'est passé. Les scientifiques étaient tellement intéressés par les résultats de Mr Newman ainsi que par son modèle théorique, que la petite réunion d'une heure qu'ils avaient prévue s'est vue durer de nombreuses heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Ces conclusions n'étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont dé-mandaté la commission et ont rédigé leur propre conclusion: sans intérêt.

Un physicien (ph. D.) indépendant venu démontrer une supercherie a lui aussi du s'en remettre à l'évidence de la réalité face à nos hautes idées de ce qu'elle devrait être et s'est rallié à la cause de Mr Newman avec qui il travaille depuis plusieurs années à l'élaboration d'une théorie solide. Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans: en avez-vous déjà entendu parler? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la question. Aujourd'hui, Mr Newman est parti travailler au Japon avec une équipe d'industriels qui ont l'idée de construire une voiture propulsée par son moteur à énergie libre."
Pascuser

Opération Northwoods

L'Opération Northwoods consistait, en 1962, dans le contexte de la guerre froide, en l'organisation d'une série d'attentats contre les États-Unis par l'état-major interarmes américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain (agression dite « false flag »). Le but était de justifier aux yeux de l'opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d'obtenir l'appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales, la Grande-Bretagne en particulier[1]. Le président J.F. Kennedy s'est opposé au projet.
Il tient ferme la ligne définie par son prédécesseur, lequel l'avait mis en garde lors de son discours de fin de mandat :
« Dans les conseils de gouvernement, nous devons prendre garde à l'acquisition d'une influence illégitime, qu'elle soit recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel. Le risque d'un développement désastreux d'un pouvoir usurpé existe et persistera. Nous ne devrons jamais laisser le poids de cette conjonction menacer nos libertés ou les processus démocratiques. Nous ne devons rien considérer comme acquis. Seules une vigilance et une conscience citoyennes peuvent garantir l'équilibre entre l'influence de la gigantesque machinerie industrielle et militaire de défense et nos méthodes et nos buts pacifiques, de sorte que la sécurité et la liberté puisse croître de pair. »
Dwight Eisenhower, Farewell adress, 17 janvier 1961

Certains des conjurés ont exercé par la suite de hautes responsabilités dans l'administration ou l'armée américaine sous les présidences Ford et Bush...
Wikipedia

Les trois passoires

Quelqu’un vient un jour trouver le grand philosophe Socrate et lui dit :

- Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?
- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.


- Les trois passoires ?

- Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire. C’est ce que j’appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

- Non. J’en ai simplement entendu parler...

- Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?

- Ah non ! Au contraire.

- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain qu’elles soient vraies. Tu peux peut-être encore passer le test car il reste une passoire, celle de l’utilité. Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?

- Non. Pas vraiment.

- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?


gproductions

Scenario impossible

Le Rayonnant


"Adorateur du dieu solaire (ou disque solaire), seul créateur de l’Univers à ses yeux, le nouveau pharaon impose lors de sa quatrième année de règne le culte unique d’Aton en son empire, aux dépens de la grande prêtrise de Thèbes, dévouée à Amon-Rê. C’est lors de l’instauration historique de ce premier monothéisme qu’Aménophis IV modifie sa désignation royale en Akhenaton (« agréable à Aton »). Il déplace sa capitale de Thèbes à Akhetaton (aujourd’hui Tell el-Amarna), une nouvelle cité vouée au culte d’Aton, et fait disparaître toute trace de la religion polythéiste de ses ancêtres. Il lutte également farouchement contre le pouvoir des prêtres qui tentent de maintenir le culte du dieu d’État Amon."Microsoft ® Encarta ® 2006
Ce bas-relief montre le souverain et son épouse Néfertiti (en bas, à gauche) portant une offrande à Aton, représenté sous la forme d'un disque solaire. Cette représentation amarnienne de la divinité figure les « ankh », symboles de vie et d'éternité, que tendent de petites mains prolongeant chacun des rayons du dieu solaire.

Offrande d'Akhenaton et de sa famille à Aton, Nouvel Empire, XVIIIe dynastie, règne d'Akhenaton (1350-1333 av. J.-C.). Détail d'une stèle en albâtre extraite du temple d'Aton à Akhetaton (aujourd'hui Tell el-Amarna). Musée égyptien, Le Caire.


Ayurveda, suite

"Tout (aliments, souffle, pensée, digestion, éliminations, climats, maladie) est sattva, rajas ou tamas :
SATTVA, favorisé par une éthique respectueuse de toutes les formes de Vie, porte à l’Elévation, sagesse, pureté, au silence intérieur et à la méditation,
A l’opposé, TAMAS tire vers le bas : ignorance, léthargie, confusion, désir de tuer, salir, désintégration et mort. Il est aggravé par des nourritures passées par l’extrême chaud ou froid, le noir, les conserves, « cadavres » (chairs animales), la chimie agroalimentaire, les basses fréquences des portables et des micro-ondes…
RAJAS assure la cohésion entre les deux et donne l’énergie pour agir. En excès il produit Tamas. Il est aggravé par les saveurs trop chaudes, acides, salées, piquantes, le rouge vif, la colère, la jalousie, la frustration, rancœur. L’énergie devient destructrice (violence…).

Seul SATTVA accroît le PRANA, trait d’union entre les corps, et la vie à l’écart du champ de souffrance et de maladie.

C’est pourquoi l’Ayurvéda privilégie Ahimsa, non violence, dans nos choix alimentaires (végétarisme sans sectarisme), cosmétiques, vestimentaires, relationnels…et nous invite à une responsabilisation karmique de soi en développant SATTVA quelle que soit notre constitution car nous sommes tous à titre individuel responsables de la santé de notre société, pays, planète.

Cultiver Sattva, c’est honorer Dieu en :
Etant conscient que la qualité et le taux vibratoire de tout ce que nous absorbons est affaire d’éthique pour nous et autrui, maintenant et demain, à court, moyen et long terme, que rien n’est isolé et que ce que nous donnons sera retourné selon notre capacité d’Amour initiale.
L’accueillant à table chaque jour. En 1994 en marchant dans la rue j’ai reçu :

« Invite la nourriture en toi comme tu invites un ami. Nettoie ton corps comme tu nettoies ta maison, traite-toi en invité et mange avec Joie ! Chaque repas est un Hymne à a Vie, un Hommage rendu à la graine, au Soleil, à l’Eau, à la Terre, l’Espace.
Elle te fait un immense Cadeau : ses Bienfaits, sa Vie ».

Depuis ce jour, toute nourriture m’est Infini Amour et manger est devenu l’acte sacré qu’il a toujours été : Prière, Rayonnement donné à nos cellules, nos corps, l’Univers et Nous."
Martine Levha

Jatropha: l’or vert?


"D1Oils et le Jatropha, c'est une histoire qui commence. Quand les biocarburants poussent dans le désert, ça ressemble à Dallas...

Mercredi 19 mars, dans les bureaux de D1Oils en plein cœur de Londres, magnifique building, nous sommes reçus par Graham Prince en charge de la communication et des investisseurs de D1Oils, producteur d’agrocarburant. Le terme bio carburant est équivalent, si ce n'est qu'agrocarburant est plus logique puisque venant de l’agriculture.

D1Oils fait partie des boites pour qui l’explosion du prix du baril de pétrole est de bonne augure. Mais les agrocarburants traditionnels (maïs, soja, betterave) ne représentaient pas un avenir aussi prometteur que l’or vert... D1Oils est en train de se métamorphoser, à la conquête du Jatropha, cet or vert.

Cette plante, qui pousse dans des conditions très arides, produit de l’huile pouvant être ensuite utilisée après raffinage en agrocarburant de très grande qualité. Elle pousse en Asie, Amérique Latine, Afrique...

Ses nombreuses vertus font aujourd’hui fureur car à la différence des autres agro carburants elle n’est pas comestible et permet de valoriser les terres et fournir des emplois aux populations locales. Elle a également un rendement photosynthétique excellent et est déjà produite sans aucune optimisation, 3 fois plus d’huile à l’hectare que le Maïs par exemple. Enfin elle peut être produite en grand volume et à bas coût dans les pays en développement

Inutile de rajouter que le seul moyen aujourd’hui pour capter le CO2 déjà émis dans l’atmosphère est la photosynthèse, processus grâce auquel poussent les végétaux.

D1 est déjà propriétaire de 200000 ha à travers le monde et rachète des hectares à tour de bras! Pour l’instant le carburant est utilisé uniquement en marché local dans ces pays, l’objectif etant évidemment d’exporter l’huile et donc le futur carburant. D1Oils vient juste de conclure une joint-venture avec BP pour l’exploitation de cette nouvelle filière...

Ainsi BP s’occupera du craquage de l’huile pour faire du carburant, D1 de l'amont, chacun son métier!"
Metro

Le jatropha – l’agrocarburant des pauvres ?

GRAIN

Le jatropha curcas est un arbuste à fleurs rouge vif, natif d'Amérique centrale, que les commerçants portugais importèrent d’Afrique vers l’Asie comme plante décorative. Ses graines oléagineuses peuvent être utilisées pour produire du biodiesel. Puisqu'il pousse sur des sols pauvres, le jatropha est largement promu en Asie et en Afrique comme la plante idéale des petits cultivateurs. Des déclarations comme celles qui suivent, publiées sur un site Internet pakistanais, sont typiques :

• Si un agriculteur peut cultiver son propre diesel, cette source d'énergie décentralisée apportera une très grande impulsion à sa condition économique

• Un seul plant de jatropha donnera un litre de biodiesel par an et ce, pendant 40 ans

• 90 pour cent du travail peut être effectué par des femmes, et contribue directement à améliorer le potentiel de revenus

• Le jatropha résiste aux sécheresses et pousse sur des sols pauvres ; de plus, il crée beaucoup d'humus et contribue ainsi à rendre la terre arable

Une vraie image d’Épinal, mais, malheureusement, ce qui se produit actuellement ne vient pas étayer cette vision optimiste selon laquelle le jatropha fournira aux cultivateurs pauvres à la fois de l’énergie bon marché et un bon revenu. En Afrique et en Asie, il y a de sérieuses préoccupations au sujet de l'impact environnemental et social du jatropha. L’Australie occidentale l’a même interdit à cause de sa toxicité sur les humains et les animaux et à cause de sa capacité de devenir rapidement difficile à contrôler, une herbe envahissante. [1]

Il y a aussi l’argument répété à loisir selon lequel les cultivateurs peuvent cultiver du jatropha sans irriguer les terres pauvres. C’est le cas, techniquement, mais, dans ces conditions, les rendements sont si bas que la viabilité de la culture devient douteuse. Des études indiennes prouvent que, sans irrigation, le rendement moyen après cinq ans est de 1,1 – 2,75 tonnes par hectare, comparés à 5,25 – 12,5 tonnes par hectare avec irrigation. [2] Il semble probable que, au lieu de le faire pousser sur des zones marginales, la production de jatropha pour agrocarburant vient directement concurrencer la production des cultures vivrières sur les terres les plus fertiles et les mieux irriguées.

Qui va faire pousser le jatropha ? Ses partisans disent que c’est une culture idéale pour les petits cultivateurs. Mais, dans la pratique, on les pousse à laisser le chemin libre pour une production d'entreprise étroitement contrôlée"
Grain
http://www.grain.org/seedling/?id=522

Energies: GERRI se charge de l'autonomie de La Réunion?


"Le ministre de l'environnement Jean-Louis Borloo était hier à La Réunion pour la signature du premier accord territorial d'application en Outre-Mer du Grenelle de l'Environnement. Cet accord lance le programme "GERRI" (pour Grenelle Environnement à la Reunion - Réussir Innovation), qui vise notamment a assurer l'autonomie énergétique de l'île en 2025." source: Enerzine

C'est ASSEZ

Paris, le 20 juin 2008. Deux militants japonais de Greenpeace ont été arrêtés vendredi à Tokyo pour avoir révélé un scandale de viande de cétacé impliquant le gouvernement japonais qui continue de chasser la baleine à des fins soi-disant scientifiques dans le sanctuaire antarctique. Le siège de Greenpeace au Japon a également été perquisitionné dans le cadre de cette enquête ainsi que les domiciles des deux militants.

Junichi Sato et Toru Suzuki, respectivement âgés de 31 et 41 ans, sont accusés d’avoir volé un carton contenant 23,5 kilos de viande de baleine débarqué du Nisshin Maru, le navire-amiral de la flotte japonaise, de retour de la chasse à la baleine dans l’Antarctique...

Réagissons ici!

First blood

Lu sur VegAnimal.info:
Entretien avec l’historien Charles Patterson,
 auteur d’Éternel Treblinka : Notre Traitement des Animaux et l’Holocauste

"La thèse de mon livre est que
 l’exploitation et le massacre des animaux
 est l’oppression centrale et originelle,
 à partir de laquelle toutes les autres oppressions découlent.
 La cruauté et l’injustice envers les animaux se retrouve inévitablement chez les humains.

Isaac Bashevis Singer, écrivain yiddish détenteur du prix Nobel est à l’origine du titre de mon livre, qui lui est dédié. Il fut le premier auteur moderne qui ait vraiment utilisé le terme holocauste pour décrire l’exploitation et le massacre des animaux. Il a écrit : “Par rapport à eux, tous les humains sont des nazis. Pour les animaux c’est l’éternel Treblinka.” (Treblinka était un camp de la mort nazi au nord de Varsovie.)

Le livre examine les racines communes de l’oppression animale et de l’oppression humaine et les similarités entre la façon dont les nazis traitaient leurs victimes et la façon dont la société moderne traite les animaux qu’elle massacre pour la nourriture. La dernière partie du livre fait le portrait de défenseurs d’animaux juifs et allemands d’un bord et de l’autre de l’Holocauste, parmi lesquels Isaac Bashevis Singer lui-même.

De nombreuses personnalités internationales dans le milieu associatif, politique, intellectuel etc., ont réagi à votre livre et l’on suppose que des lecteurs issus du grand public ont dû également vous contacter pour vous donner leur impression.
Quels sont les commentaires qui vous ont le plus touché ?


J’ai été surtout touché par les commentaires et les critiques des gens qui ont reconnu l’importance et l’originalité de mon livre.

Par exemple, le journal israélien Maariv a écrit : “Le défi moral posé par Eternel Treblinka en fait un livre indispensable pour celui qui cherche à explorer la leçon universelle de l’Holocauste” et la très respectée Midwest Book Review (US) a décrit le livre comme étant “captivant, controversé, iconoclaste... vivement recommandé... une contribution unique.”

Dr Jane Goodall, célèbre dans le monde entier, a dit de mon livre qu’il “contribuera énormément à corriger les traitements épouvantables que les êtres humains ont infligé aux animaux à travers l’histoire. Je vous recommande vivement de lire ce livre et de bien réfléchir au message important qu’il contient ".

Le magazine new-yorkais Satya écrivit, “Il y a les bons livres... divertissants, utiles, éducatifs ; les livres excellents... dont le message révèle une vérité fondamentale encore inconnue ou ignorée ; et il y a les livres importants... qui peuvent sauver des vies et réduire la souffrance : Eternel Treblinka est les trois à la fois "...
Charles Patterson

La souffrance méprisée des animaux aquatiques

"Les animaux marins et d’eaux douces sont les plus grands oubliés de la cause animale souvent parce que les gens ne font pas sur eux de l’anthropomorphisme (à l’exception du dauphin et de la baleine) comme ils ont coutume de le faire avec les animaux familiers"...



VegAnimal.info

Diabète: vraiment incurable?

Re: Viande


gd a écrit :
"Moi j'aime la viande. Enfin je mange quasiment tout en fait.L'éducation y est pour beaucoup je pense.Et a fortiori tout ce qui est bon sous mon palais bien sûr.Maintenant est ce que tout est bon, ça c'est une autre histoire. Mais j'avoue ne pas être trop regardante dessus.Malgré tout ce que l'on peut entendre de nos jours...."

mg dit: 
La question peut être abordée de nombreux points de vue anthropocentristes:
humm... à point, goûteux, berk, gras, avarié, tendre, persillé, cru ou pas...
 mais elle l'est rarement du point de vue animal lui-même:

Que penserions, que ressentirions-nous si une espèce supérieure
se mettait à nous chasser, nous égorger,
pire, nous 'élever' sous un néon éternel en nous gavant d'une purée
d'aliments industriels à base de restes humains, d'hormones, d'antidépresseurs et d'antibiotiques
pour nous 'engraisser' aussi vite que possible?
Aurions-nous encore la force de protester, dans les couloirs de la mort?

Cet aspect de la question nous est assez soigneusement occulté,
sauf quand une tête de poule frite surgit dans notre boîte de Kentucky's.
Oui, à force les petits enfants de nos villes ont tendance à penser
que le poisson pousse en carrés qu'il suffit de paner
et le steack haché en grandes rondelles à cuire moelleuses ...

Non. Le sang versé et les souffrances endurées ont bel et bien existé pour les obtenir.
Et nos mains à tous en sont maculées!
Il est temps d'y réfléchir, non?

Naturo-santé

Salut les amis,
c'est Hippocrate lui-même qui nous 'bassinait'
de "ton aliment sera ton premier médicament"...

Alors excusez-moi d'insister (vous me remercierez après):
J'ai assisté à un cours de crusine ce vendredi: surprenant et logique,
puisqu'il est difficile d'abandonner nos manies sans leur en substituer d'autres.

Ou comment ne pas sacrifier le goût sur l'autel de la santé!

Voilà (en pièces jointes) encore trois témoignages des résultats de l'observance de ces conseils,
pour des personnes initialement très malades.

Comment en effet nous imaginer nous, 'bien portants', le rester encore longtemps
en gardant nos vieux travers?
Personne ne croit plus qu'avaler un ou deux comprimés d'une poudre de perlinpinpin (même chère)
suffit à effacer des années d'habitudes préjudiciables!?
Charles lui-même était persuadé du contraire et ne cessait de nous le répéter.

Diane Langlois nous donne dans ce document pdf (également joint)
son point de vue pratique et théorique.

C'est fou comme on est sourd à ce discours...
 tant qu'on ne souffre pas vraiment dans sa chair.

Pure fiction?


"En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges, alors âgée de 17 ans, se trouvait au Honduras britannique (rebaptisé Belize après la décolonisation) avec son père, qui était un anthropologue réputé.

Ensemble, ils découvrirent une étrange sculpture de cristal de roche en forme de crâne féminin dans les ruines d'une ancienne cité maya, sur le site de Lubaantùn.

Certaines propriétés de ce crâne, attestées des années plus tard par des experts en cristallographie de la société Hewlet-Packard, sont tout à fait étonnantes :

- Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur et rare : du dioxyde de silicium piézo-électrique anisotrope.
- Les deux parties qui le composent proviennent du même bloc de quartz.
- Il ne porte aucune trace d'usinage ni d'instrument quelconque, même microscopique. Il est donc impossible à dater car le cristal ne vieillit pas.
- Quand il est éclairé par le dessous, la lumière jaillit par ses orbites.
- Quand il est frappé à l'arrière par les rayons du Soleil, un faisceau lumineux intense, susceptible de mettre le feu à la végétation, jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
- Sa fabrication manuelle, si elle avait été possible, aurait nécessité au moins 300 années de travail en continu. Avec la technologie moderne au diamant, il aurait fallu plus d'une année, sans toutefois être certain de pouvoir parvenir à un résultat rigoureusement identique..."
http://www.erenouvelle.com/editcran.php
http://www.dinosoria.com/crane_cristal.htm

Convivialité



Éphèse. Des latrines.... On causait politique tout en faisant sa petite affaire.... Les Romains étaient très organisés et la cité romaine disposait de l'eau courante, de thermes, de rues à colonnades où les boutiquiers vendaient leurs produits. Pour pénétrer à Éphèse, il fallait s'être d'abord lavé.... Une façon de prévenir les infections.

100.000.000 d'années


dans l'ambre opaque.

Découvert en 2008


Pour un vu, combien ont déjà disparu sans jamais l'avoir été?
National Géographic

Ich Conn' ?


"Née de deux parents Blancs, la nature, ou plutôt la génétique l’avait dotée d’une couleur de peau plus sombre que celle ses parents. Son histoire suscita un intérêt international en pleine période d’apartheid en Afrique du Sud. Bien plus tard, elle raconta son histoire dans son livre "When she was white" ("quand elle était blanche"), revenant sur la bataille juridique et sociale au cours de laquelle elle passa de la catégorie "blanche" à la catégorie "métis" avant d’être à nouveau reclassifiée blanche.

Sandra Laing est née en 1955 dans une petite ville conservatrice, Piet Retief, est est la fille de Abraham et Sannie Laing, des sud-africains qui blancs. Ses grands-parents, et ses arrières-grands-parents étaient également blancs. Mais la nature ou plutôt la génétique avait joué un tour à la famille, un tour qui à l’époque de l’apartheid pouvait s’avérer problématique.

Elevée dans une zone rurale par ses deux parents, adhérents au parti national pro-apartheid, Sandra avait vécu ses premières années d’enfance heureuse, dans un environnement blanc. Ses cheveux crépus et sa peau sombre étaient néanmoins remarqués par tous, et Sandra se souviendra plus tard que sa mère lui disait "d’éviter le soleil" (sans doute pour ne pas "noircir" davantage). Les enseignants détournaient les yeux quand les autres élèves l’appelaient "Kaffir" (une façon péjorative d’appeler les Noirs en Afrique du Sud sous l’apartheid NDLR).

Un jour de 1966, alors qu’elle était élève depuis plus de cinq ans à la "Deborah Retief boarding school", elle fut exclue et deux policiers la raccompagnèrent au domicile familal. Son père pleura en apprenant la nouvelle et essaya de lui expliquer qu’elle devrait désormais fréquenter une école pour Noirs ou pour Métis.

La communauté rurale dans laquelle la famille vivait commença à mettre à l’écart Sandra et sa famille : elle était ignorée à l’église, neuf écoles refusèrent de l’admettre, les marchands de glace refusaient de la servir...Abraham Laing engagea une lutte qui allait durer plusieurs années afin que sa fille soit reclassée "Blanche". Entretemps, Sandra avait fini par trouver refuge dans une école qui se trouvait à 900 km du domicile familial.

En 1967, elle fut reclassée Blanche. La loi avait changé suite à la campagne menée par son père et stipulait désormais que toute personne née de deux parents blancs ne pouvait appartenir à un autre groupe racial. Des tests sanguins avaient prouvé qu’elle était la fille biologique de Abraham et Sannie.

Interrogée en 2003 par le journal britannique "The Guardian", Sandra Laing avouait se sentir plus à l’aise au milieu des Noirs. A l’âge de 16 ans, elle s’était enfuie pour le Swaziland avec Petrus Zwane, un sud-africain noir vendeur de légumes et employé de ses parents, ce qui provoqua la colère de son père, qui menaça de l’abattre d’abord, et de se suicider ensuite si elle remettait les pieds à la maison.

Lors de son retour en Afrique du Sud, elle dut se résoudre à vivre dans un township (nom de quartier pauvre où vivaient les Noirs NDLR) sans eau courante, sans électricité...En pleine période d’apartheid, Sandra Laing dût se séparer de ses deux enfants car étant désormais blanche, elle ne pouvait les garder que si elle était reclassifiée métis, comme eux l’étaient.

Officiellement reclassée blanche, elle ne pouvait pas vivre avec ses enfants car selon les lois de l’apartheid, des gens de race différentes ne pouvaient pas vivre ensemble sous le même toit. Les autorités lui firent savoir qu’elle aurait besoin du consentement de son père pour être reclassée comme métis, mais ce dernier refusa de donner son approbation. Néanmoins Sandra Laing changerait encore une fois de catégorie en étant reclassée grâce à ses efforts dans la catégorie "métis", en 1981.

Elle fut expulsée de la ville où elle vivait lorsque le quartier fut démoli pour faire de la place aux Blancs, tandis que Petrus, son compagnon, devint alcoolique et violent. Elle se résolut à confier ses enfants à l’assistance publique, la décision la plus difficile de sa vie selon elle. Elle ne les retrouverait que dix ans plus tard.

Dans les années 80, elle essaya de rentrer en contact avec sa famille, et apprit que son père était décédé. Elle se remaria, puis eut trois autres enfants après avoir été réunie avec les deux autres (ceux qu’elle avait laissés à l’assistance publique). En 2000, un journal sud-africain, le "Sunday Times" la retrouva, alors qu’elle vivait dans un township, et arrangea une réunion avec sa famille. Sa mère y participa, (c’était quelques mois avant qu’elle ne meure).

Mais les deux frères de Sandra, qui passaient pour des partisans de l’extrême-droite sud-africaine, refusèrent tout contact avec elle. Les profits du livre publié sur sa vie lui revinrent, ce qui lui permit de monter une petite affaire. La société Miramax, qui a publié "when she was white", s’est dite intéressée par le projet de faire adapter le livre sur sa vie en film. En 2003, Sandra Laing confiait à la BBC qu’elle essayait d’oublier son passé et de vivre une nouvelle vie : " J’aurais aimé que Nelson Mandela soit notre président que je suis née. Peut-être que je n’aurais pas quitté la maison, j’aurais achevé mes études, et j’aurais vu mes frères tout le temps"."
Voir un Documentaire sur Sandra Laing http://www.youtube.com/watch?v=cYZyvxpsCjQ

Source: Grioo

Soukounian


L'homme-phalène de Virginie reste une énigme
"L'homme papillon, le " Mothman " qui terrifia selon la légende en 1966 les habitants de Point Pleasant en Virginie, notament le 15 décembre 1967 sur le "Silver Bridge", un pont suspendu de 250 mètres de long qui reliait l'Ohio à la VIrginie occidentale...
Dès 1966 autour de Point Pleasant, les cieux se remplissent de lumières. Des objets luminescents
se posent dans les champs ou sur les routes devant des automobilistes ébahis...
Selon les experts le pont se serait écroulé à cause d'une "fatigue structurelle". Au moment du drame, le pont était encombré de véhicules bloqués dans un embouteillage consécutif aux achats de Noël. Une quarantaine de personnes trouvèrent la mort dans le drame. La nouvelle bouleversa l'Amérique de l'époque..."
Secretebase

L’important, c’est QUI mange !


Par Annie Ollivier
"Pour les Taoïstes, l’alimentation n’est pas uniquement axée sur le plaisir des sens, mais surtout sur la prévention des maladies, l’amélioration et le maintien de la santé, et par conséquent la longévité.
Les Chinois ont donc toujours considérés les aliments, ainsi que leur mode de cuisson, comme des médicaments. Autrefois en Chine, les gens consultaient le médecin quand ils ne se sentaient pas bien et pour retrouver leur équilibre (yin-yang). En cas de déséquilibre, le médecin prescrivait tout d’abord la prise d’aliments particuliers avant de recommander des herbes.
Ensuite, toujours pour les Taoïstes, ce qui importe, ce n’est pas tant ce que les gens mangent, mais avant tout qui sont les gens qui mangent. En effet, la constitution physique (cinq éléments) et le tempérament (six énergies) de chacun sont les éléments dont le praticien chinois tient compte (après observation de la langue, de la peau, des mains, des pieds, du visage, de la physionomie, etc.) pour prescrire des aliments. Nous sommes donc loin de la conception de la diététique européenne où l’accent est avant tout mis sur les aliments et ce que l’on ingère sans tenir compte de l’état physiologique et énergétique réel de la personne qui consulte. Résultat : bien des personnes de constitution physique et de tempérament différents se retrouveront avec les mêmes régimes alimentaires de tous acabits, qu’ils soient carnés, végétariens, végétaliens, Sheltoniste, Aktiniste, Montignaquiste, Weight Watcheriste, Zéroiste, etc. Pas étonnant qu’il y ait tant de problématiques liées à l’alimentation.

Les médecins chinois ne parlent donc pas de glucides, protides, lipides, vitamines, minéraux ou calories dans leur démarche thérapeutique. Ils parlent plutôt des divers impacts des divers aliments sur les divers organes et viscères grâce entre autres à leur nature intrinsèque respective, leurs saveurs, leurs températures et leurs couleurs. Ils parlent aussi des modes de cuisson comme moyens de tonifier davantage les organes. Ainsi divers modes de cuisson (bouilli, étuvé, sauté, frit et mijoté) correspondent au besoin énergétique de divers organes (Poumons, Reins, Foie, Cœur et Rate). Ils parlent des saisons durant lesquelles les gens s’alimentent : on ne mange pas selon les mêmes modes de cuisson en été qu’en hiver, et pas les mêmes choses. Ils parlent de la constitution et du tempérament de la personne : une personne yang (chaud) aura intérêt à manger yin (froid) pour équilibrer son système, et vice-versa.

La médecine traditionnelle chinoise s’attarde donc avant tout sur l’état réel de la personne pour prescrire les éléments, entre autres les aliments, qui viendront rétablir le déséquilibre que des agents intérieurs ou extérieurs auront causé. Ce qui est magnifique, c’est qu’ils considèrent les aliments comme des médicaments. Des médicaments qui poussent au cours de certaines saisons, captent les diverses et différentes vibrations de l’univers d’une saison à l’autre. Ainsi, l’énergie (chi qui provient de certaines planètes du cosmos) qui parvient sur la Terre à la fin de l’été vibre en fonction d’un taux vibratoire qui lui est particulier et vient se condenser dans certains légumes et fruits qui eux aussi vibrent en fonction de ce même taux. Les carottes, les panais, les betteraves et tous les légumes-racine et qui courent sur la terre (courges) appartiennent à cette catégorie. Beaucoup d’entre eux sont de couleur jaune ou orange et ils tonifient un organe interne (yin) dont le taux vibratoire correspond lui aussi à cette couleur, cette saison, cette planète. Dans le cas de la saison que les Chinois considèrent comme la cinquième saison (fin de l’été), il s’agit de la Rate.

Donc, une personne présentant des symptômes de déficience de la Rate (envie de sucreries, métrorragie, diarrhée, pensées obsessionnelles, soucis, inquiétudes, fermeture d’esprit, etc.) se verra prescrire par le médecin chinois des aliments (carottes, panais, lentilles corail, betteraves, datte, raisin, etc.) qui viendront tonifier cet organe déficient en l’énergie qui le caractérise. À cela, il fera des recommandations concernant le mode de cuisson, le moment de consommation pour davantage tonifier cet organe ou pour en tonifier d’autres.
C’est donc toute cette approche médicinale qui peut expliquer la variété des aliments chinois (légumes, poissons, viandes, fruits) ainsi que la variété de leur mode de cuisson, évidemment selon les saisons et les lieux.
Transparaît sous tout cela la notion de responsabilisation, depuis des millénaires, d’un peuple qui ne se nourrit non pas pour le plaisir uniquement, mais pour la santé. Et ces notions sont ancrées dans les mœurs et les gens savent en général ce qui est bon pour eux. Pour les médecins chinois, et maintenant aussi pour certains spécialistes occidentaux (Colin Campbell dont j’ai traduit le livre qui s’intitulera en français « Le rapport Campbell »), les habitudes alimentaires peuvent donc guérir toutes sortes de maux, y compris les maladies dégénératives comme le cancer..."
Source: Alchymed

de la nature


.Bonjour,
C’est un plaisir immense pour moi, l’incrédule, car je n'aurais jamais pensé
avoir cette chance de VOIR à mon âge. Sachant de toute évidence que nous
étions entourés et protégés, j'acceptais volontiers de regarder comme allant
de soi que certains êtres, peut-être plus "méritants ", comme l'on dit à
Abadiania, puissent avoir cette possibilité. Je ne dis pas capacité, parce que
là, je crois qu'il ne s'agit pas de capacité, mais d'un privilège qui nous est
donné d'accéder à ce monde de l’invisible. J'avais donc coutume de dire :
« vous avez de la chance, j'ai beaucoup lu sur les fées, les gnomes. Les contes
ont été pour moi des instruments thérapeutiques extraordinaires, mais tout
ce qui touche à l'invisible m'est fermé. Sans doute ne suis-je pas
suffisamment convaincue dans mon coeur. Mon intellect dit oui, je suis sûre
que cela existe, mais mon esprit doute. Mon coeur n'est pas assez ouvert. »
Aussi, inutile de vous dire le bonheur immense de cette rencontre, au mois de
Novembre 2006, pour mes 70 ans.
Je lavais mon linge à l'arrière de la maison, pensant à mon retour en France,
à la mi-décembre. Perdue dans mes pensées, j'ai ressenti à l'intérieur,
comme un appel : « retourne-toi ! », ce que j'ai fait. Je ne voyais rien, mais
j'ai été comme tirée en avant. Je me suis avancée et je l'ai vu à hauteur de
mes yeux, à côté du poste d'eau. Je ne voyais que ces yeux, un peu globuleux
et rieurs, comme s'il se moquait un peu de moi, et je lui ai demandé qui il
était. Je lui ai dit que je n'avais jamais vu une "chose " pareille. Puis, je lui ai
demandé pardon, car je voyais bien que c'était quelque chose qui me
dépassait.

Lorsque j'ai posé la question, il s'est mis à danser devant mes yeux. Il
dansait en spirale, passant et repassant devant moi. Lorsque je répétais ma
question : « qui es-tu ? », il s'approchait très près de mon visage, toujours
avec ses yeux rieurs, et recommençait sa ronde. J'étais fascinée. Puis, je lui
ai demandé si je pouvais le prendre en photo. Je suis allée chercher mon
appareil numérique dans ma chambre et suis revenue. Il m'attendait... J'ai
pris une série de photos, puis suis allée reposer l'appareil. Il a disparu, sans
que je m'aperçoive qu'il n'était plus là. Regardant sur l'appareil, j'ai vu qu'il
était projeté dans tout le jardin, petit, grand, dans les arbres, sur le chemin
des pierres. Une merveille ! J'ai connu un moment de joie indicible et de
gratitude immense envers la création et son Créateur.
Cela s'est passé un samedi. Le lundi suivant, le matin, à 7 heures, le ciel était
gris. Pas de luminosité. Je faisais la salutation au soleil, remerciant pour ce
nouveau jour naissant. Alors que j'étais les mains au sol, relevant la tête, il
était à nouveau là. Je ne pouvais que dire : « tu es revenu, tu es revenu, oh !
merci ! merci ! " J'étais bouleversée, fascinée, sans question, vivant cet
instant qui restera unique pour moi, car le jardin s'est rempli de lumière,
comme s'il était habité par des centaines de petites lumières auréolées de
bleu. J’ai demandé à nouveau la permission de faire des photos. A nouveau, je
suis allée chercher mon appareil. Là, j'ai un peu perdu la notion de temps, et
je me suis rendu compte que le départ, la séparation étaient comme une
continuité de la rencontre... Difficile à expliquer.
Voilà, je pense que ce privilège de la rencontre, que cette manifestation
n'est certes pas l’essentiel sur le chemin, mais cela m’a confirmé que des
milliers d'êtres invisibles nous accompagnent, et cela m'a rendue encore plus
vigilante à ne pas nuire, lorsque je marche dans la nature. Et je prie pour une
prise de conscience du respect de ce qui nous entoure. J'ai senti comme
juste de partager cette rencontre. Alors, je vous la confie.
Maryse
PS. Je souhaiterais à tout le monde de faire cette expérience, et je voudrais
dire que ce fut pour moi un appel à la légèreté. Notre vie a le poids qu'on lui
donne.

"Bhutto aurait-elle gaffé?...


...en disant, lors d'une interview, que Ben Laden a été assassiné, et cette gaffe lui a-t-elle coûté la vie ?
 
Au cours d'une interview de David Frost, journaliste britannique à la BBC (son émission "Breakfeast with David Frost" est prisée pour les interviews de personnalités politiques connues sur la scène internationale), le 2 novembre 2007, Benazir Bhutto a dit suspecter plusieurs groupes de vouloir l'assassiner. Vers la fin de cette interview, elle parle d'un homme qui, selon ses dires, a assassiné Ben Laden. (« The man who murdered Ossama Bin Laden »).

Certains ont dit que ces mots étaient un lapsus car, le lendemain, sur la chaîne américaine CNN1, elle reconnaissait que Ben Laden était en vie.

Alors, s'est-elle rendu compte de la dangerosité de ce qu'elle venait de dire le jour précédent, compte tenu de l'importance du mythe Ben Laden dans la « guerre contre le terrorisme » menée par les US et leurs alliés, et a-t-elle voulu rattraper sa gaffe ?

Sachant l'importance cruciale que représente Ben Laden dans l'opération psychologique (psyop) médiatique pour justifier auprès de l'opinion publique la politique étrangère de violence colonialiste des US, les mesures prises partout dans le monde par les gouvernements pour limiter les libertés individuelles, les programmes de surveillance rapprochée des populations civiles, les arrestations multiples de « suspects » souvent très vite relâchés, ou détenus et torturés comme à Guantanamo, la peur distillée régulièrement par les médias sur la « menace Ben Laden », Bhutto a-t-elle été éliminée, entre autres, par la CIA/ISI pour cette « gaffe » ?

À noter que le gouvernement pakistanais s'est empressé d'accuser Al Qaeda de l'assassinat de Bhutto et qu'il a cherché à dissimuler la version selon laquelle elle aurait été assassinée par balle alors qu'une vidéo prouve le contraire.

Un assassinat par balle ne correspond pas aux méthodes d'assassinat d'Al Qaeda. On peut argumenter qu'un kamikaze s'est ensuite fait exploser, mais celui-ci n'est pas, selon la vidéo de l'assassinat, celui qui a tiré. Cet assassinat s'apparente plus à une exécution de sang froid menée par des services secrets et maquillée en attentat suicide. Pour certains, l'attentat suicide aurait ciblé le tueur lui-même pour effacer toute preuve. Les preuves matérielles ont d'ailleurs été rapidement effacées car l'endroit a été vite nettoyé. Il est fort peu probable que les enquêteurs de Scotland Yard, dont le gouvernement pakistanais a finalement accepté la venue, trouve quoi que ce soit de substantiel. Cette "enquête" serait plutôt une opération de communication à destination du public pakistanais pour calmer les esprits.

Alors, Bhutto aurait-elle vendu la mèche, Ben Laden aurait-il été assassiné, est-il mort ?"
Pleinsfeux

Le désespoir de la médecine officielle

Notre société humaine est est gravement atteinte d'un mal qui lui retire toute dignité. Nous en sommes rendus au point où les pouvoirs politiques et économiques en place ont de plus en plus de difficultés à passer leurs messages mensongers et à soumettre les populations.

C'est un signe des temps qui nous dit que l'esclavage contemporain perd de plus en plus de sa subtilité et qu'il tire à sa fin. En voici une illustration éloquente ayant eu lieu dans l'un des pays les plus "civilisés" et "démocratiques", les États-Unis d'Amérique.

Il y a quelques temps, dans l'état du Maryland, On a vacciné plusieurs centaines d'enfants contre leur gré et celui de leurs parents, en empêchant ces derniers d'intervenir sous la menace des fusils et des chiens d'attaque.

Sous les ordres du ministre de la justice, on a rassemblé dans un palais de "justice", comme du bétail, les enfants dont les parents avaient refusé la vaccination et on les a vaccinés de force, empêchant les parents d'entrer. On a même menacé ces derniers de prison et de leur enlever leurs enfants s'ils n'obéissaient pas.

C'est ainsi que la médecine officielle, n'étant plus capable de convaincre la population des "bienfaits" de ses thérapies, en est rendue à utiliser la menace, la contrainte et la force pour soumettre ceux et celles qui ne croient plus en elle. Des moyens dignes de l'Inquisition et de la Gestapo.

Où est donc la liberté d'opinion et d'expression, la liberté de choisir ce qui convient le mieux à ses enfants? Et ceci ne se passe pas sous un régime totalitaire et dictatorial mais dans le pays dit de la liberté. Autrement dit, on veut criminaliser les parents et les pénaliser de vouloir protéger la santé et la vie de leurs enfants. Nous connaissons en effet de plus en plus les dangers des vaccins.

Tout ceci reflète l'incapacité grandissante de la médecine à faire valoir ses principes comme étant les seuls valables. L'utilisation de la contrainte à la pointe du fusil illustre bien son impuissance et son désespoir. Le berger veut garder son troupeau bien en vue et le soumettre à ses volontés, pour son besoin de contrôle et surtout parce que c'est très payant.

La médecine pharmaceutique est le seul système médical qui utilise les armes pour "recruter" ses malades. Quand on en est rendu là, c'est qu'on a très peur de perdre le contrôle sur la population ainsi que les bénéfices qui en découlent.
Un tel système ne pourra pas abuser ainsi des gens très longtemps. Ses jours sont comptés.
Pour plus d'information
http://www.pleinsfeux.com/index.php
http://www.aapsonline.org/press/nr-11-16-07.php
http://www.naturalnews.com/022267.html

Laurent L'Écuyer

Mafia médicale

"Le fait de ne pas croire à une chose ne la rend pas impossible. Pourquoi rejette-t-on l'idée que le corps puisse se guérir lui-même? A-t-on analysé la question? A-t-on vraiment cherché?

Il me semble que non. La plupart des gens affirment a priori que cette idée est dénuée de sens et qu'il faut se méfier de ceux qui la proclament. Tout au plus admet-on qu'elle pourrait être possible dans certains cas bénins par un retour à un mode de vie plus équilibré. On a observé la condition humaine, parfois d'une façon pouvant sembler objective et intelligente, et on en a conclu que l'homme et la femme étaient destinés à une vie de misère, de maladie et de déchéance puisque ces situations semblaient être universelles. Cependant, le fait d'être soumis à celles-ci ne signifie pas qu'elles soient nécessaires. De nombreuses personnes s'en sont libérées de façon parfois très surprenante et beaucoup d'autres n'y ont jamais été soumises.

L'autoguérison n'est pas une doctrine; les faits nous le démontrent clairement. Il existe une littérature abondante relatant l'histoire de personnes s'étant guéries de toutes sortes de maladies, y compris le cancer et le sida, alors que la médecine officielle les avait condamnées. Nous avons tous entendu parler de guérisons miraculeuses, de rémissions spontanées, de personnes ayant retrouvé la santé par un jeûne, une alimentation équilibrée, une cure quelconque, etc... Saviez-vous qu'un foie mutilé peut se régénérer complètement, que les amygdales peuvent repousser après une amygdalectomie?

D'ailleurs, chacun d'entre nous a personnellement expérimenté l'autoguérison. Vous souvient-il de vous être éraflé un doigt ou un bras? Le sang répandu s'est coagulé rapidement et a formé une croûte sur la plaie. Puis le corps s'est mis au travail et en quelques jours a réparé les tissus, ne laissant pratiquement aucune trace de la blessure. N'est-ce pas là un bon exemple de la puissance de la nature à protéger la vie? Pourtant on refuse toujours ce principe. Serait-il tellement évident qu'on ne le voie pas?

Depuis les temps les plus reculés on a assisté à ce miracle. Même Hippocrate, celui qu'on a nommé le père de la médecine, le relate dans ses écrits. Et plus près de nous, tous ces cas de guérison naturelle observés et attestés par des autorités reconnues tels Edmond Bordeaux-Szekely, Bernard Jensen, John Whitman Ray, pour ne nommer que quelques uns qui ont aidé à eux seuls des centaines de milliers de malades. Leur conclusion est toujours la même: la nature a le pouvoir d'autoguérison et il suffit, pour qu'il se manifeste, de lui en donner l'opportunité.

La maladie peut être vue comme un retour à l'équilibre accompli par le corps en compensant d'une manière ou d'une autre pour un organe dysfonctionnel. Mais c'est la guérison qui ramène l'équilibre originel par le rétablissement total de cet organe. Maladie et guérison ont en commun la recherche de l'équilibre, mais dans le premier cas, cet équilibre est instable, éphémère car la cause du problème est demeurée sous-jacente, alors que dans le second, il est stable, permanent car la cause a été éliminée. Et, comme on l'a souvent observé, le corps est réellement capable d'autoguérison à la condition qu'on n'intervienne pas dans le processus si ce n'est pour le favoriser.

Alors, pourquoi rejette-t-on du revers de la main tous ces faits et ces recherches? Pourquoi le public n'y croit-il pas? La seule réponse possible, à mon avis, est l'existence d'un pouvoir n'ayant pas intérêt à ce qu'on sache que chaque individu possède en lui la capacité naturelle de retrouver la santé et de la maintenir. C'est la mafia médicale, telle que décrite par Guylaine Lanctôt et d'autres avant elle, qui nous empêche de prendre conscience de cette réalité qu'est l'autoguérison.

Nous nous libérerons de cette emprise lorsque nous aurons réalisé que nous sommes maintenus dans l'ignorance et l'illusion. Alors seulement pourrons-nous retrouver foi en nous-mêmes et en la nature et comprendre que l'autoguérison n'est pas seulement possible mais réelle."
Laurent L'Écuyer

Seule la vie engendre la vie

Tout dans la nature est vivant. La mort n'est qu'un phénomène de transition, un passage vers une autre forme de vie.

Lorsque je parle d'un aliment dévitalisé, je parle d'un aliment qu'on a modifié et qui a perdu ainsi une partie de sa vitalité et de sa valeur nutritive. Cet aliment ne peut nous nourrir adéquatement car il est devenu incomplet. Et lorsqu'on en mange jour après jour et année après année, on devient carencé et notre santé s'affaiblit. La maladie frappe alors à notre porte.

Lorsque je parle d'un aliment mort, je parle d'un aliment qu'on a détruit et qui a perdu ainsi toute sa vitalité et sa valeur nutritive. Cet aliment n'est pas nourrissant car les éléments nutritifs qu'il possédait ont été détruits, habituellement par la chaleur mais aussi par la congélation, les micro-ondes et l'irradiation. Les enzymes (nécessaires à la digestion et à la vie en général), les vitamines (nécessaires à notre métabolisme), les acides aminés et les minéraux (nécessaires à la construction des cellules et au fonctionnement de tous les systèmes), les acides gras (nécessaires au métabolisme), les fibres (nécessaires au transit intestinal), presque tout est détruit. Il est évident qu'un aliment qui ne possède plus rien d'utile va, à la longue, nous amener vers la mort. Lorsque les cellules ne sont pas nourries, elles meurent. Évidemment, cela ne se fait pas du jour au lendemain mais après plusieurs années d'un tel régime.

"Quant à la viande, il serait préférable de ne pas en manger car nous, les humains, ne sommes pas des carnivores par nature. Cela est bien connu des milieux scientifiques mais, sous les pressions, on tient le peuple dans l'ignorance. On le rend ainsi malade pour pouvoir le "soigner" par la suite avec des médicaments toxiques. On empoisonne aussi nos fruits et légumes ainsi que le fourrage des animaux avec des engrais chimiques et des pesticides, sous prétexte d'améliorer les récoltes mais tout cela ne sert que le profit et le pouvoir... et dévitalise nos aliments. C'est une tragédie pour l'espèce humaine et pour la nature.

Les gens qui ont mangé vivant toute leur vie sont des personnes fortes, en pleine santé et débordant de vitalité. Les autres sont faibles, malades et s'acheminent péniblement vers la 'mort'.
Laurent L'Écuyer

Définition de la Naturopathie


Étymologie
Le mot "naturopathe" vient de deux termes anglais:"nature" et "path". Il signifie le chemin ou la voie de la nature.
Définition
La naturopathie est une méthode de soins visant la santé globale et optimale de toute personne, au moyen d'une gestion efficace de son mode de vie, mais aussi de son corps de manière à lui donner accès aux conditions les plus favorables possibles à sa tendance innée et puissante de s'autorétablir ou s'améliorer.
Pratique de la naturopathie
Le naturopathe agit essentiellement comme un guide des bonnes habitudes de vie. en tenant compte de la spécificité de chaque personne qui le consulte, son rôle est de scruter attentivement son mode de vie, de procéder à diverses évaluations selon les cas et de proposer des recommandations visant à atteindre les objectifs de santé souhaités. Le naturopathe ne fait pas que régler les problèmes physiques par le biais de solutions externes. Il offre une approche personnalisée de votre état de santé et est là pour vous enseigner le meilleur chemin à suivre pour atteindre un niveau de santé optimal. Consulter un naturopathe, c'est s'offrir une éducation grâce à laquelle on peut reconquérir, améliorer ou conserver soi-même sa santé. C'est ce qui s'appelle se réapproprier son pouvoir personnel grâce à la naturopathie.
Vitacru