Alma III

Alma II

Alma

Pensée

Autant il est aisé de prendre une vie, d'un geste trancher net le fil,
autant lui donner les conditions de l'épanouissement est beaucoup
moins aisé, mais plus valorisant: c'est permettre à l'esprit de se
frayer une voie toujours plus consciente et plus rapide vers sa source.

Produire de l'électricité à partir des eaux usées


(src : Times of India)
Une équipe de cinq étudiants de l'Institut Indien de Technologie de Kharagpur a développé un concept de bio-batteries capable non seulement de traiter les eaux usées, mais également de générer de l'électricité.

La technologie se base sur la croissance de millions de bactéries anaérobies (LOCUS) utilisables dans le traitement des eaux usées. Dans le processus de nettoyage, elles vont également émettre des électrons qui pourront alors être exploités à leur tour.

Les premiers prototypes actuels ont fait l'objet d'un brevet et selon Times of India, "ils sont en mesure de dépolluer 50,000 litres d'eaux usées soit le volume utilisé par 100 appartements en un jour".

L'un des étudiants précise que "l'eau purifiée a été testée et certifiée pour être propre et apte à l'usage domestique. Elle n'est cependant pas potable".

L'équipe a même produit de l'électricité avec la bio-batterie. "Un canton de 100.000 personnes a besoin d'environ 2,3 MW d'électricité par jour. Il faudra des années avant de parvenir à ce stade. Mais nous avons déjà été en mesure de produire de l'électricité. L'an prochain, nous voulons générer 350 unités, soit suffisamment pour satisfaire 50% de la demande de 100 appartements, hors climatisation", indique Prateek Jain, étudiant au département d'ingénierie de l'agriculture et l'alimentation.

Corrélation?


Edgar Cayce : « Si vous constatez une activité accrue du Vésuve, ou de la Montagne pelée en Martinique, alors la côte Sud de la Californie et le pays compris entre Salt Lake City et le sud du Nevada peuvent s'attendre à une prochaine inondation due à des tremblements de terre... (lecture 270-35 du 21 janvier 1936). Il conseille aussi de surveiller l'Etna de près. 



Le projet DESERTEC prend forme avec la société DII

Yhavol

1921 Schuré Edouard - les grands initiés

"Mais la race blanche (...) venait d’être réveillée par les attaques de la race noire qui commençait à l’envahir par le sud de l’Europe. Lutte inégale au début. Les Blancs à demi sauvages, sortant de leurs forêts et de leurs habitations lacustres, n’avaient d’autre ressource que leurs arcs, leurs lances et leurs flèches aux pointes de pierre. Les Noirs avaient des armes de fer, des armures d’airain, toutes les ressources d’une civilisation industrieuse et leurs cités cyclopéennes. Écrasés au premier choc, les Blancs, emmenés en captivité, commencèrent par devenir en masse les esclaves des Noirs qui les forcèrent à travailler la pierre et à porter le minerai dans leurs fours. Cependant des captifs échappés rapportèrent dans leur patrie les usages, les arts et des fragments de science de leurs vainqueurs. Ils apprirent des Noirs deux choses capitales : la fonte des métaux et l’écriture sacrée, c’està-dire...



Scribd: "Schuré Edouard - les grands initiés"

Aïpple man!

A paraître en octobre:



Fabrice Nicolino publie le 7 octobre prochain un livre passionnant et préoccupant sur l’industrie de la viande. Jamais lu ? En tout cas, jamais écrit. Ce livre sur la viande est rempli de très nombreuses révélations sur un univers que personne ne souhaite voir de près. La France a connu après 1945 une révolution de son régime alimentaire qui n’a rien de naturel. Elle consommait peu de viande, elle en « bouffe » des millions de tonnes chaque année.

Qui a voulu ce complet bouleversement ? Les jeunes « technocrates » autour de De Gaulle, après 1958, mais aussi les pontes de l’Inra, un institut public au service direct des intérêts industriels. Ce livre raconte la genèse d’un changement radical, et met des noms sur des actes. Joseph Fontanet, François Missoffe, Edgard Pisani, Edgar Faure, du côté des politiques, suivis par Henri Nallet, Édith Cresson, Michel Rocard quand la gauche a pris le pouvoir en 1981. Raymond Février et Jacques Poly du côté des chercheurs et des techniciens. Tous ont été au service de la bidoche.

Ensemble, ils ont imposé que la France devienne un immense hachoir à viande qui abat chaque année plus d’un milliard d’animaux domestiques. Des animaux traités comme des bêtes, parqués dans le noir, entravés, farcis d’antibiotiques et .d’hormones qui mettent en péril la santé humaine.

Nul n’a jamais parlé ainsi des dangers gravissimes que représentent le MRSA, le MAP, et toutes ces maladies émergentes qui donnent des sueurs froides aux autorités sanitaires.

La situation est-elle hors de contrôle ? Oui. Ce livre révèle que la panique a gagné quantité de bureaux officiels. Et comment l’élevage industriel cherche à masquer des vérités affolantes. Qui sait en France que l’élevage mondial émet plus de gaz à effet de serre que la totalité des transports humains, automobiles, bateaux et avions compris ? Qui sait que notre bétail est nourri par du soja transgénique venu du Brésil, grand responsable de la déforestation en Amazonie ? Qui reconnaît que les demandes chinoise et indienne de viande seront impossibles à satisfaire dans quelques années, faute de sol et d’eau ? Qui ose écrire que la demande globale de viande industrielle conduit tout droit à de nouvelles et tragiques famines de masse ?
http://www.kokopelli-blog.org/?p=109

Le Syndrome du Titanic

"Je vois bien que toutes les crises - écologiques, économiques, alimentaires et climatiques - se combinent et qu'elles nous mènent droit vers une crise de l'humanité, voire humanitaire. Ce film veut inviter chacun à s'interroger sur le sens du progrès. J’ai cru longtemps que la planète était infinie, que la trace de l’homme était insignifante, que le progrès était un processus linéaire, irréversible, que la science, la technologie et les institutions nous mettaient à l’abri des menaces… Tout cela est un immense malentendu. On a érigé un système qui court à sa perte car il fonctionne sur le principe d’une croissance exponentielle et de ressources infinies dans un monde qui, lui, ne s’étend pas… Quand on aura à gérer une addition de pénuries, notre «vernis de civilisation» risque alors de voler en éclats ! Pas besoin d'être un prix Nobel pour comprendre qu’on arrive au bout du processus."



http://www.lesyndromedutitanic.com/
"La vapeur purgée par les cheminées du Titanic crée un bruit assourdissant sur le pont des embarcations, et les opérateurs radio sont gênés pour émettre les messages de détresse. Les officiers occupés à préparer les canots sont alors obligés de hurler ou de communiquer par signe...

L'aire 51

Adair est un ingénieur de réputation mondiale spécialisé dans l'aérospatiale et l'aéronautique ayant travaillé pour l'armée américaine (l'Air Force et la Navy) ainsi que pour d'importantes firmes en armement. Enfant prodige, surdoué, il fut repéré par les autorités militaires et scientifiques dès son adolescence et travailla immédiatement pour le cartel militaro-industriel.

"On descendit d'au moins 60 mètres jusqu'à ce ce que nous nous trouvâmes pile poil au même niveau que le sol d'un hangar souterrain qui était immense. Il y avait d'énormes arches pour soutenir le plafond mais surtout, cet hangar était si vaste, si profond, si grand qu'on en voyait pas la fin. Cela allait à l'infini. Je me suis dis: "Mon Dieu, on pourrait ranger une centaine de 747 là dedans et ils ne seraient même pas dans le chemin. La chose la plus intrigante à mon sens à propos de tout cela était de voir à quel point les souterrains étaient VRAIMENT bien éclairés.
Il n'y avait aucune ombre, nulle part. Mais il n'y avait aucun dispositif d'éclairage, aucune lampe non plus...

Biens mal acquis (suite)

"Lien entre détournement d’argent et panne de développement"

[...]malgré sa position affirmée contre le blanchiment et  la corruption,
 la France fait à cet égard figure de mauvais élève. De la fortune de Saddam Hussein par exemple, elle « n’a restitué qu’un yacht alors que 23 millions d’euros resteraient toujours bloqués à la Banque de France », selon le rapport. Aucune action contre les banques françaises « dont il a pourtant été démontré que les succursales à Londres et en Suisse détenaient des comptes du général nigérian Abacha » ne semble pourtant avoir été entreprise.
Novethic

Hope in Hopis?

Si on s’en tient aux spéculations des anthropologues, les Hopis, comme les autres nations indiennes, descendraient de peuplades asiatiques qui auraient traversé le détroit de Béring 10.000 ans avant notre ère. Une théorie séduisante qui entre cependant en contradiction avec la genèse Hopi qui parle d’une émergence bien plus ancienne, quelque part sur les côtes d’Amérique Centrale ou encore plus au sud. Une différence de taille car selon leurs légendes, transmises oralement lors de rituels initiatiques, les clans hopis auraient traversé l’océan longtemps après qu’un déluge ait englouti leur monde, le Troisième Monde. Selon leur tradition, ils étaient les premiers hommes à poser les pieds sur le continent américain, le Quatrième Monde, et avaient été épargnés de l’anéantissement grâce à leurs qualités spirituelles et au contact qu’ils avaient su garder avec le Créateur de toutes choses. Sur le Troisième Monde, les hommes avaient développé de grandes cités, une grande civilisation, guerroyaient entre eux avec des engins incroyables comme les boucliers volants, les patuwvotas, mais avaient perdu le sens profond de leur évolution et de leur identité, tout comme leurs ancêtres sur les deux mondes précédents qui avaient eux aussi été détruits. Ces légendes évoquent évidemment le mythe du continent perdu de l’Atlantide et l’hypothèse d’une Terre ayant déjà abrité plusieurs civilisations technologiquement évoluées avant la nôtre...

Boomerang vert (merci JDB)

 

 
Pour ceux qui ne savaient pas qu'une plante amazonienne pouvait s'opposer aux OGM :
 


Effet boomerang chez Monsanto :

Aux États-Unis, cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont du être abandonnés par les agriculteurs et cinquante mille autres sont gravement menacés. Cette panique est due à une « mauvaise » herbe qui a décidé de s'opposer au géant Monsanto, connu pour être le plus grand prédateur de la Terre. Insolente, cette plante mutante prolifère et défie le Roundup, l'herbicide total à base de glyphosphate, auquel nulle « mauvaise herbe ne résiste ».

Quand la nature reprend le dessus.

C'est en 2004, qu'un agriculteur de Macon, en Géorgie, ville située à environ 130 kilomètres d'Atlanta, remarqua que certaines pousses d'amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait ses cultures de soja.

Les champs victimes de cette envahissante mauvaise herbe ont été ensemencés avec des graines Roundup Ready, qui comportent une semence ayant reçu un gène de résistance au Roundup auquel nulle « mauvaise herbe ne résiste ».

Depuis cette époque, la situation s'est aggravée et le phénomène s'est étendu à d'autres états, Caroline du Sud, et du Nord, Arkansas, Tennessee et Missouri. Selon un groupe de scientifiques du Centre for Ecology and Hydrology, organisation britannique située à Winfrith, dans le Dorset, il y aurait eu un transfert de gènes entre la plante OGM et certaines herbes indésirables, comme l'amarante. Ce constat contredit les affirmations péremptoires et optimistes des défenseurs des OGM qui prétendaient et persistent à affirmer qu'une hybridation entre une plante génétiquement modifiée et une plante non-modifiée est tout simplement « impossible ».

Pour le généticien britannique Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l'agriculture : « Il suffit d'un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu'elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme, et elle se multiplie rapidement. L'herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d'ammonium, a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d'adaptation. » Ainsi, un gène de résistance aux herbicides a, semble-t-il, donné naissance à une plante hybride issue d'un saut entre la graine qu'il est censé protéger et l'amarante, devenue impossible à éliminer.

La seule solution est d'arracher les mauvaises herbes à la main, comme on le faisait autrefois, mais ce n'est pas toujours possible étant donné l'étendue des cultures. En outre, ces herbes, profondément enracinées sont très difficiles à arracher et 5 000 hectares ont été tout simplement abandonnés.

Nombre de cultivateurs envisagent de renoncer aux OGM et de revenir à une agriculture traditionnelle, d'autant que les plants OGM coûtent de plus en plus cher et la rentabilité est primordiale pour ce genre d'agriculture. Ainsi Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja à Dudley, dans le Missouri, affirme que plus personne ne lui demande de graines Monsanto de type Roundup Ready alors que ces derniers temps, ce secteur représentait 80 % de son commerce. Aujourd'hui, les graines OGM ont disparu de son catalogue et la demande de graines traditionnelles augmente sans cesse.

Déjà, le 25 juillet 2005, The Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés de céréales avaient transité vers des plantes sauvages, créant ainsi une « supergraine » résistante aux herbicides, croisement « inconcevable » par les scientifiques du ministère de l'environnement. Depuis 2008, les media agricoles américains rapportent de plus en plus de cas de résistance et le gouvernement des États-Unis a pratiqué d'importantes coupes budgétaires qui ont contraint le Ministère de l'Agriculture à réduire, puis arrêter certaines de ses activités.

Plante diabolique ou plante sacrée

Il est amusant de constater que cette plante, « diabolique » aux yeux de l'agriculture génétique, est une plante sacrée pour les Incas. Elle fait partie des aliments les plus anciens du monde. Chaque plante produit en moyenne 12 000 graines par an, et les feuilles, plus riches en protéines que le soja, contiennent des vitamines A et C et des sels minéraux.

Ainsi ce boomerang, renvoyé par la nature sur Monsanto, non seulement neutralise ce prédateur, mais installe dans des lieux une plante qui pourra nourrir l'humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson et les hautes terres tropicales et n'a de problèmes ni avec les insectes ni avec les maladies, donc n'aura jamais besoin de produits chimiques.

Ainsi, « la marante » affronte le très puissant Monsanto, comme David s'opposa à Goliath. Et tout le monde sait comment se termina le combat, pourtant bien inégal ! Si ces phénomènes se reproduisent en quantité suffisante, ce qui semble programmé, Monsanto n'aura bientôt plus qu'à mettre la clé sous la porte. À part ses salariés, qui plaindra vraiment cette entreprise funèbre ?
Sylvie SIMON

 
 
 
 
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Hitler, liquidé en 1958 par les américains à « Neu-Berchtesgaden », en antarctique ?

Les révélations de deux scientifiques, qui soutiennent la thèse de la forteresse antarctique de Neu-Berchtesgaden, tiennent-elles la route sur la glace ?

Hitler a-t-il fui, directement de la Chancellerie du Reich, vers la glace éternelle ?  Si l’on croit diverses théories du chaos qui hantent l’Internet, le dictateur se serait envolé après la capitulation de l’Allemagne, vers la forteresse « Neu Berchtesgaden » en Antarctique.  Des chercheurs polaires ont entrepris la légende, et découvert un vrai petit trésor.


Toute l’histoire commença par un voyage de recherche scientifique avec le vaisseau d’expédition le « Swchabenland ». il commença dans les faits en janvier 1939, il y a exactement 70 ans, en direction du pôle sud, en vue de conquérir ce continent inoccupé.  Après le débarquement, l’équipage du navire planta des drapeaux aux croix gammées dans le sol glacé. C’est tout ce que raconte l’Histoire.


Dans leur publication « La base Antarctique de Hitler : le Mythe et la Réalité » (Hitlers Antartktis-Basis : Mythos und Realität), les scientifiques renommés Colin Summerhayes, de l’Université de Cambridge, et Peter Beeching de Toronto ont posé les questions : « Des nazis de haut rang se sont-ils expatriés en Arctantique avec des U-Boote ? » et « Des bombes atomiques furent-elles expédiées au-dessus de l’Antarctique ? »  Les deux théories subsistent depuis des décennies.


Autour des sous-marins allemands U-530 et U-977 est né un mythe, qui alimente la théorie du « Neu-Berchtesgaden », un système de tunnels creusé dans la glace : les deux bâtiments émergèrent les premiers mois après la fin de la guerre, en juillet et en août 1945, dans le port argentin Mar del Plata. Où se trouvaient-ils pendant tout ce temps ?


La réponse sauce conspiration : les deux sous-marins avaient, sitôt après la capitulation allemande du 8 mai 1945, transporté des éminences nazies sur le continent antarctique, où ceux-ci ont pu se cacher dans la forteresse de glace.


Le fait est cependant, comme Summerhayes le souligne, que la glace pendant les mois d’été, l’hiver antarctique, est tellement épaisse, qu’un exil dans une forteresse présumée aurait dû se révéler impossible. Les équipages des bâtiments en Argentine auraient aussi dû contourner effectivement la réglementation sur les prisonniers de guerre. Egalement si quelques gros bonnets du régime nazi en déconfiture accostaient en Amérique du Sud, pour vivre sans inquiétude en exil.


Au cours de l’opération “Highjump”, l’US-Navy envoya pendant l’hiver 1946/47 une flotte de 13 navires dans les eaux antarctiques, en vue de se préparer contre la possibilité d’une guerre avec l’Union Soviétique dans l’océan antarctique.


Les théoriciens de la conspiration tiennent cela pour un prétexte. Leur version : les amerloques avaient à cette époque tenté de prendre le « Neu-Berchtesgaden » de Hitler. Sans succès. C’est la raison pour laquelle les américains détruisirent la forteresse avec trois bombes atomiques en 1958, pour radier de la surface de la terre ce qui restait des nazis, et notamment de Hitler.


Ces bombes ont effectivement été larguées, elles explosèrent vraiment, dans l’axe sud le la ville du Cap, éloignée de 2.200Km de « Neu-Berchtesgaden ».  C’est confirmé par des rapports militaires, qui sont longtemps restés secrets.

http://www.cineyrgie.nl/?id=1843

Source : Bildzeitung – Trad° : PVdB



Pour commencer, une simple et très anodine information: En date du 14 décembre 1944 (six mois avant la fin de la Guerre) le très sérieux et important quotidien US, le “New-York Time”, publiait pour la première fois, depuis les premières observations dans le monde, de “soucoupes volantes”un article étonnant: ” Les ’soucoupes volantes’ sont des armes secrètes.Une nouvelle arme allemande a fait son apparition sur le front occidental.Les pilotes de l’US Air Force rapportent que des “boules d’argent” survolent l’Allemagne, parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent totalement transparentes“

Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins? Un retour en arrière est indispensable : Vers les années 1936, dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie s’y préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime. Outre les accords secrets avec des “alliés du Grand Reich”et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base discrète, solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine.

En 1938, un porte-avion le “NEUES SCHWABENLAND” embarqua une expédition vers l’Antarctique et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent “NEUES SCHWABENLAND” appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers cette “base” y faisant escale et un certain nombre restèrent sur place.. et nul ne les revit. Les état-major des marines des Alliés, en particulier ceux de la US-Navy et de la Royal-Navy ont estimé, après avoir des mois durant dressé les inventaires de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimé qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparu… ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni saisies, ni arraisonnées par les forces Alliées.. Officiellement et statistiquement, personne ne sait où sont passés ces sous-marins ! Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des “équipages et passagers constitués de techniciens spécialisés”, fuyant sur ordres l’occupation alliée en Allemagne après ou très peu de temps avant la défaite, et du matériel sophistiqué furent débarqués à la base du Neu-Schwabenland, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent mis à l’abri… Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée se mit en place pour une opération de plusieurs mois. Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946, pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de NEU SCHWABENLAND. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland, disposant d’une telle supériorité technologique inattendue, seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais… (malgré la profusion de “rapports officiels” prêtant plus à sourire qu’à être crédibles!). Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, “El MERCURIO”, une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: “C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre” Il laissa aussi comprendre: “Qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure“ Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues ou venant d’ailleurs disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme dès le premiers tiers de notre XX°, d’autres furent également capables de rééditer ces “exploits technologiques” dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement… D’après les “Lectures” d’Edgar CAYCE et les “Planches et “Codex” de Pierre GUILDER, force est d’admettre que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de portée physique des terriens avaient la connaissance et la maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou solaires que les sciences humaines sont encore maintenant loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes (VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à ces informations par « contacts », lesquels ne disposant pas plus que les autres humains d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en oeuvre les techniques permettant de construire des engins et d’élaborer des matériaux aux performances bien supérieures à ce que les industries classiques mettaient au point et d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il y a pour tous un mystère qui n’en est plus un si l’on accepte avec humilité et sagesse, de vouloir bien admettre que certains humains ont reçu des messages et des informations en provenance de sources nous étant inconnues. Il faudrait être complètement obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois physiques universelles sont encore inconnues de l’homme (tout comme l’électricité l’était au Moyen-Âge) et que des «initiés», dotés de sens perdus par l’homme après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques à d’autres milieux successifs, soient capables de recevoir des informations… rejetées par la masse ignorante… mais pouvant très bien être exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux intentionnés du monde..

Que les septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins purent être fabriqués et évoluer ainsi., alors que les avions de chasse les plus performants de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise, n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de l’US-Air Force et de la R.A.F.se souviennent encore de ces “bizarres apparitions” durant leurs missions! (Il est vrai, pour les septiques, qu’il est plus simple et, oh combien rassurant, de nier tout en bloc… Rejeter sans chercher à savoir… C’est la réaction primaire du cancre au fond de la classe, près du radiateur!)

Les vagues d’observations de juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du Nord, semblèrent venir narguer et faire toute une série de pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et aux militaires du Pentagone et des Agents de la CIA, placés pour longtemps devant le problème que posait ces manifestations, sans réponse possible quant à la technologie spécifique utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux objets volants… à identifier officiellement ! Rien de plus irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé un peu plus loin près d’une falaise, devant les connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne permirent apparamment pas de comprendre le fonctionnement, la propulsion de cet engin…pas plus que pouvoir identifier le fameux “métal” dont il était en grande partie composé. Seuls quelques ‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil.. et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents, dessins et épures récupérés après la Guerre par les Alliés, ne constituaient que des informations,certes convaincantes, détenues par les Services Secrets de l’Ordre Noir de la SS et récupérées après-guerre mais étaient techniquement inexploitables. Les plans et les documents technologiques, permettant la construction en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages et de faire procéder aux essais en vol et, compte tenu du caractère ultra-secret de leurs contenus, ayant été évacués à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé par les technologies de pointe de la production allemande du III° Reich. Beaucoup n’ayant pas le caractère “top secret de la SS” des armes secrètes et engins volants, les films de Carl Zeiss furent facilement “saisis” par les troupes US, sous les ordres du Major-Général ANDERSON de la US-Army, parvenues les premières à Jena le 21 Avril 1945 lesquelles, le jeu de la politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour laisser une place “nette et bien propre”.. à leurs alliés soviétiques, après que les ingénieurs, technicien de points et leurs familles avaient été emmenées par autocars entiers vers les bases américaines du Sud de l’Allemagne, pour ensuite gagner les USA.

Or, ce procédé d’archivage et de conservation de documents était utilisé dans toutes les industries “sensibles” de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs un ensemble de technologies pouvant éventuellement être facilement reconstituées en cas de destruction locale et aussi faire face à une issue désastreuse de la guerre pour le III° Reich, que beaucoup avaient envisagé bien des mois avant la chute de Berlin ou encore aussi -pourquoi pas- pour des technologies très avancées pour l’époque- servir plus tard pour la “bonne cause” à une survivance du Nazisme.(Car, depuis l’armistice signé à Berlin le 8 Mai 1945, n’oublions pas qu’aucun Traité de Paix n’a été signé avec l’Allemagne nazie depuis la fin de la Guerre. Si l’Allemagne a reconnu sa défaite, les “éléments nazis” ne l’ont jamais reconnue!!… Partant de ce “concept” tout est donc possible…) Survivance sous la forme d’ “organisations nazies” réparties dans quelques bases secrètes prévues, organisées et installées de longue date dans certaines contrées, occupées par des milliers d’hommes bien entraînés et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés officiellement du monde des vivants et évacués longtemps avant le 8 Mai 1945 et pour certains grands pontes… durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère, voire intergalactiques(?) Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entre autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique.. .précaution supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants d’autres bases, pouvaient travailler activement au remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines-outils et infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité. L’attention des Alliés du conflit terminé se portait vers d’autres préoccupations politiques et économiques prépondérantes plutôt que continuer, après cette “aventure”, à chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées …

Outre le territoire antarctique du Neu Swchabenland il existe d’autres territoires à travers la monde où des colonies perpétueraient la survie du régime nazi, avec d’anciens SS et leur descendance, dans des camps parfaitement organisés dont le plus important est situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés, acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur. Dans un secteur géographique de l’Amérique du Sud, outre le site déjà bien connu en Argentine, il y a au moins une base d’engins volants quelque part dans la Cordillère (la localisation se lit sur certaines planches de Guilder ) grâce aux structures utilisées ou conservées “en l’état” depuis très longtemps.. Des dizaines et dizaines de siècles peut-être.. (les planches de Guilder ayant été toutes “dictées” par une entité atlante.. pouvant très bien avoir la faculté de “voyager” dans le temps et de décrire aussi certaines “choses” plus contemporaines. Une autre encore et non la moindre, se situerait dans le labyrinthe des hautes vallées perdues de l’Himalaya. Là essayons de comprendre pourquoi les forces chinoises ont tenu à occuper à tout prix le Tibet.. malgré le peu d’importance stratégique de ce territoire sacré!.. Une très importante raison occulte. Là ce n’est encore qu’une hypothèse non vérifiable. Puis encore sous les glaces du Groënland(?) et peut-être aussi en d’autres points invisibles car soigneusement et profondément enterrées dans certaines zones souterraines de notre planète où séjourneraient toujours les membres survivants et leurs descendants du dernier Bataillon. Ce fameux dernier bataillon nazi que Hitler citait dans son discours du 24 février 1945: “Je vous prédit aujourd’hui, comme toujours empreint de la foi en notre peuple, la victoire finale du troisième Reich où dans cette guerre il n’y aura ni vainqueur ni vaincu,que des morts et des survivants, mais le dernier bataillon sera allemand !” (Qui se souvient encore de ce fameux discours? Il est trop “gênant” pour avoir été inscrit dans les Livres d’Histoire à faire lire aux jeunes générations d’écoliers d’après-guerre!)

Et la ronde des OVNIS se poursuit. Ces étranges engins viennent toujours narguer les peuples en poursuivant une activité insoupçonnable, surgissant apparemment de nulle part et disparaissant mystérieusement, mettant depuis des décennies des milliers d’ufologues en émoi.. Lesquels cherchant très loin ce qui se trouve peut-être tout simplement, pour la plus grande majorité, basé dans quelques discrets recoins de notre planète.. Ceci n’est plus de la fiction : Ces engins volants existent bel et bien, conçus et pilotés…Mais quels sont ces équipages ? Certains ont été aperçus lors de rencontres dites du deuxième type : De grands blonds, parfois de très grands de plus de 2 mètres, d’autres plus petits, des nains ou des nabots à drôles de têtes, les avis divergent car il y a une diversité entre les occupants de certains engins avec d’autres. Leurs missions restent pour nous du domaine du mystère. Cette question reste encore sans solution…
Source : Karmapolis

Partie :

Au début de l’année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schbenland, sur le territoire allemand du même nom, en antarctique existait toujours et des Nazis l’occupait toujours après l’armistice.
Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d’y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succès. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de Neu-Schbenland.

Aussi En 1946, le commandement allier confia la responsabilité d’une nouvelle et colossale opération à l’amiral Richard Byrd, l’homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l’époque. L’Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Richard Byrd prépara l’invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : “l’Operation Highjump”.

Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notament l’étude des pingouins. Le plan d’attaque était d’entrer dans la région opposée de la base de Neu-Schbenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l’objectif final. L’opération militaire combina des forces terrestres et navales de façon massive :

- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.

Il n’est pas étonnant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l’armée US quand il n’étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non gouvernementales, transformés alors en navire de transports où autres… La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L’expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officiellement il n’y a pas eu de combats contre les Nazis en antarctique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliers et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le Chili Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que “la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes !”
Aux USA il sera difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de « guerre des pingouins », une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n’y avait uniquement que des pingouins et qu’il n’y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’Operation Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l’armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre souterraine…
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/AntartiqueBaseAllemande.html

Il y a 20 ans mourait Sergio Leone

En 12 films (dont quelques oeuvres de commande),
il a marqué l'histoire du cinéma et par-dessus tout du western avec quelques éléments clés :
la musique (d'Ennio Morricone), les plans resserrés, la dilatation du temps...

Un révolutionnaire
Dans l'Ouest


Jesse Owens


"[...]C’est en 1935, le 25 mai, à Ann Harbor dans le michigan, lors de la compétition des "Big Ten" qu’il commence à écrire sa légende. Au cours de cette compétition à laquelle il a failli ne pas participer car il était tombé dans un escalier et ressentait de violentes douleurs dorsales, Jesse bat trois records du Monde et égale un quatrième, le tout en l’espace de 70 minutes. Sur 100 yards (environ 90 mètres), Owens fut chronométré en 9,4 secondes, égalant le record du monde. A peine remis de sa course, Owens s’engagea sur le saut en longueur. Son bond fut mesuré à 8,13 mètres, record du monde battu. Owens était le premier homme à franchir la barre des 8 mètres, et son record du monde allait tenir 25 ans, jusqu’en 1960 aux jeux olympiques de Rome. Quelques dizaines de minutes plus tard, sur 200 mètres et 200 mètres haie, il établissait à nouveau deux records du monde en respectivement 20,3 secondes et 22,6 secondes. Owens regagna les vestiaires sous les acclamations des 10 000 spectateurs qui venaient d’assister à un moment historique. Jamais un athlète dans l’histoire de l’athlétisme n’avait battu trois records du monde et égalé un quatrième..."
Grioo

Les terres agricoles, de plus en plus convoitées

Pas un jour sans que de nouveaux hectares ne soient cédés. Les petites annonces de terres agricoles à vendre passent maintenant dans la presse financière internationale. Et les clients ne manquent pas. "Fin 2008, constate Jean-Yves Carfantan, auteur du Choc alimentaire mondial, ce qui nous attend demain (Albin Michel, 2009), cinq pays se distinguaient par l'importance de leurs acquisitions de terres arables à l'étranger : la Chine, la Corée du Sud, les Emirats arabes unis, le Japon et l'Arabie saoudite. Ensemble, ils disposent aujourd'hui de plus de 7,6 millions d'hectares à cultiver hors territoire national, soit l'équivalent de 5,6 fois la surface agricole utile de la Belgique."[...]
Le Monde

Le Monde.fr: Vitrine verte pour une Russie en mal de logements

Vitrine verte pour une Russie en mal de logements

LE MONDE Grégoire Allix | 03.01.09 | 10:04

A Ekaterinbourg, dans la forêt, des Français créent un luxueux
centre-ville et une cité écologique.

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