Soukounian
L'homme-phalène de Virginie reste une énigme
"L'homme papillon, le " Mothman " qui terrifia selon la légende en 1966 les habitants de Point Pleasant en Virginie, notament le 15 décembre 1967 sur le "Silver Bridge", un pont suspendu de 250 mètres de long qui reliait l'Ohio à la VIrginie occidentale...
Dès 1966 autour de Point Pleasant, les cieux se remplissent de lumières. Des objets luminescents
se posent dans les champs ou sur les routes devant des automobilistes ébahis...
Selon les experts le pont se serait écroulé à cause d'une "fatigue structurelle". Au moment du drame, le pont était encombré de véhicules bloqués dans un embouteillage consécutif aux achats de Noël. Une quarantaine de personnes trouvèrent la mort dans le drame. La nouvelle bouleversa l'Amérique de l'époque..."
Secretebase
L’important, c’est QUI mange !
Par Annie Ollivier
"Pour les Taoïstes, l’alimentation n’est pas uniquement axée sur le plaisir des sens, mais surtout sur la prévention des maladies, l’amélioration et le maintien de la santé, et par conséquent la longévité.
Les Chinois ont donc toujours considérés les aliments, ainsi que leur mode de cuisson, comme des médicaments. Autrefois en Chine, les gens consultaient le médecin quand ils ne se sentaient pas bien et pour retrouver leur équilibre (yin-yang). En cas de déséquilibre, le médecin prescrivait tout d’abord la prise d’aliments particuliers avant de recommander des herbes.
Ensuite, toujours pour les Taoïstes, ce qui importe, ce n’est pas tant ce que les gens mangent, mais avant tout qui sont les gens qui mangent. En effet, la constitution physique (cinq éléments) et le tempérament (six énergies) de chacun sont les éléments dont le praticien chinois tient compte (après observation de la langue, de la peau, des mains, des pieds, du visage, de la physionomie, etc.) pour prescrire des aliments. Nous sommes donc loin de la conception de la diététique européenne où l’accent est avant tout mis sur les aliments et ce que l’on ingère sans tenir compte de l’état physiologique et énergétique réel de la personne qui consulte. Résultat : bien des personnes de constitution physique et de tempérament différents se retrouveront avec les mêmes régimes alimentaires de tous acabits, qu’ils soient carnés, végétariens, végétaliens, Sheltoniste, Aktiniste, Montignaquiste, Weight Watcheriste, Zéroiste, etc. Pas étonnant qu’il y ait tant de problématiques liées à l’alimentation.
Les médecins chinois ne parlent donc pas de glucides, protides, lipides, vitamines, minéraux ou calories dans leur démarche thérapeutique. Ils parlent plutôt des divers impacts des divers aliments sur les divers organes et viscères grâce entre autres à leur nature intrinsèque respective, leurs saveurs, leurs températures et leurs couleurs. Ils parlent aussi des modes de cuisson comme moyens de tonifier davantage les organes. Ainsi divers modes de cuisson (bouilli, étuvé, sauté, frit et mijoté) correspondent au besoin énergétique de divers organes (Poumons, Reins, Foie, Cœur et Rate). Ils parlent des saisons durant lesquelles les gens s’alimentent : on ne mange pas selon les mêmes modes de cuisson en été qu’en hiver, et pas les mêmes choses. Ils parlent de la constitution et du tempérament de la personne : une personne yang (chaud) aura intérêt à manger yin (froid) pour équilibrer son système, et vice-versa.
La médecine traditionnelle chinoise s’attarde donc avant tout sur l’état réel de la personne pour prescrire les éléments, entre autres les aliments, qui viendront rétablir le déséquilibre que des agents intérieurs ou extérieurs auront causé. Ce qui est magnifique, c’est qu’ils considèrent les aliments comme des médicaments. Des médicaments qui poussent au cours de certaines saisons, captent les diverses et différentes vibrations de l’univers d’une saison à l’autre. Ainsi, l’énergie (chi qui provient de certaines planètes du cosmos) qui parvient sur la Terre à la fin de l’été vibre en fonction d’un taux vibratoire qui lui est particulier et vient se condenser dans certains légumes et fruits qui eux aussi vibrent en fonction de ce même taux. Les carottes, les panais, les betteraves et tous les légumes-racine et qui courent sur la terre (courges) appartiennent à cette catégorie. Beaucoup d’entre eux sont de couleur jaune ou orange et ils tonifient un organe interne (yin) dont le taux vibratoire correspond lui aussi à cette couleur, cette saison, cette planète. Dans le cas de la saison que les Chinois considèrent comme la cinquième saison (fin de l’été), il s’agit de la Rate.
Donc, une personne présentant des symptômes de déficience de la Rate (envie de sucreries, métrorragie, diarrhée, pensées obsessionnelles, soucis, inquiétudes, fermeture d’esprit, etc.) se verra prescrire par le médecin chinois des aliments (carottes, panais, lentilles corail, betteraves, datte, raisin, etc.) qui viendront tonifier cet organe déficient en l’énergie qui le caractérise. À cela, il fera des recommandations concernant le mode de cuisson, le moment de consommation pour davantage tonifier cet organe ou pour en tonifier d’autres.
C’est donc toute cette approche médicinale qui peut expliquer la variété des aliments chinois (légumes, poissons, viandes, fruits) ainsi que la variété de leur mode de cuisson, évidemment selon les saisons et les lieux.
Transparaît sous tout cela la notion de responsabilisation, depuis des millénaires, d’un peuple qui ne se nourrit non pas pour le plaisir uniquement, mais pour la santé. Et ces notions sont ancrées dans les mœurs et les gens savent en général ce qui est bon pour eux. Pour les médecins chinois, et maintenant aussi pour certains spécialistes occidentaux (Colin Campbell dont j’ai traduit le livre qui s’intitulera en français « Le rapport Campbell »), les habitudes alimentaires peuvent donc guérir toutes sortes de maux, y compris les maladies dégénératives comme le cancer..."
Source: Alchymed
de la nature
.Bonjour,
C’est un plaisir immense pour moi, l’incrédule, car je n'aurais jamais pensé
avoir cette chance de VOIR à mon âge. Sachant de toute évidence que nous
étions entourés et protégés, j'acceptais volontiers de regarder comme allant
de soi que certains êtres, peut-être plus "méritants ", comme l'on dit à
Abadiania, puissent avoir cette possibilité. Je ne dis pas capacité, parce que
là, je crois qu'il ne s'agit pas de capacité, mais d'un privilège qui nous est
donné d'accéder à ce monde de l’invisible. J'avais donc coutume de dire :
« vous avez de la chance, j'ai beaucoup lu sur les fées, les gnomes. Les contes
ont été pour moi des instruments thérapeutiques extraordinaires, mais tout
ce qui touche à l'invisible m'est fermé. Sans doute ne suis-je pas
suffisamment convaincue dans mon coeur. Mon intellect dit oui, je suis sûre
que cela existe, mais mon esprit doute. Mon coeur n'est pas assez ouvert. »
Aussi, inutile de vous dire le bonheur immense de cette rencontre, au mois de
Novembre 2006, pour mes 70 ans.
Je lavais mon linge à l'arrière de la maison, pensant à mon retour en France,
à la mi-décembre. Perdue dans mes pensées, j'ai ressenti à l'intérieur,
comme un appel : « retourne-toi ! », ce que j'ai fait. Je ne voyais rien, mais
j'ai été comme tirée en avant. Je me suis avancée et je l'ai vu à hauteur de
mes yeux, à côté du poste d'eau. Je ne voyais que ces yeux, un peu globuleux
et rieurs, comme s'il se moquait un peu de moi, et je lui ai demandé qui il
était. Je lui ai dit que je n'avais jamais vu une "chose " pareille. Puis, je lui ai
demandé pardon, car je voyais bien que c'était quelque chose qui me
dépassait.
Lorsque j'ai posé la question, il s'est mis à danser devant mes yeux. Il
dansait en spirale, passant et repassant devant moi. Lorsque je répétais ma
question : « qui es-tu ? », il s'approchait très près de mon visage, toujours
avec ses yeux rieurs, et recommençait sa ronde. J'étais fascinée. Puis, je lui
ai demandé si je pouvais le prendre en photo. Je suis allée chercher mon
appareil numérique dans ma chambre et suis revenue. Il m'attendait... J'ai
pris une série de photos, puis suis allée reposer l'appareil. Il a disparu, sans
que je m'aperçoive qu'il n'était plus là. Regardant sur l'appareil, j'ai vu qu'il
était projeté dans tout le jardin, petit, grand, dans les arbres, sur le chemin
des pierres. Une merveille ! J'ai connu un moment de joie indicible et de
gratitude immense envers la création et son Créateur.
Cela s'est passé un samedi. Le lundi suivant, le matin, à 7 heures, le ciel était
gris. Pas de luminosité. Je faisais la salutation au soleil, remerciant pour ce
nouveau jour naissant. Alors que j'étais les mains au sol, relevant la tête, il
était à nouveau là. Je ne pouvais que dire : « tu es revenu, tu es revenu, oh !
merci ! merci ! " J'étais bouleversée, fascinée, sans question, vivant cet
instant qui restera unique pour moi, car le jardin s'est rempli de lumière,
comme s'il était habité par des centaines de petites lumières auréolées de
bleu. J’ai demandé à nouveau la permission de faire des photos. A nouveau, je
suis allée chercher mon appareil. Là, j'ai un peu perdu la notion de temps, et
je me suis rendu compte que le départ, la séparation étaient comme une
continuité de la rencontre... Difficile à expliquer.
Voilà, je pense que ce privilège de la rencontre, que cette manifestation
n'est certes pas l’essentiel sur le chemin, mais cela m’a confirmé que des
milliers d'êtres invisibles nous accompagnent, et cela m'a rendue encore plus
vigilante à ne pas nuire, lorsque je marche dans la nature. Et je prie pour une
prise de conscience du respect de ce qui nous entoure. J'ai senti comme
juste de partager cette rencontre. Alors, je vous la confie.
Maryse
PS. Je souhaiterais à tout le monde de faire cette expérience, et je voudrais
dire que ce fut pour moi un appel à la légèreté. Notre vie a le poids qu'on lui
donne.
"Bhutto aurait-elle gaffé?...
...en disant, lors d'une interview, que Ben Laden a été assassiné, et cette gaffe lui a-t-elle coûté la vie ?
Au cours d'une interview de David Frost, journaliste britannique à la BBC (son émission "Breakfeast with David Frost" est prisée pour les interviews de personnalités politiques connues sur la scène internationale), le 2 novembre 2007, Benazir Bhutto a dit suspecter plusieurs groupes de vouloir l'assassiner. Vers la fin de cette interview, elle parle d'un homme qui, selon ses dires, a assassiné Ben Laden. (« The man who murdered Ossama Bin Laden »).
Certains ont dit que ces mots étaient un lapsus car, le lendemain, sur la chaîne américaine CNN1, elle reconnaissait que Ben Laden était en vie.
Alors, s'est-elle rendu compte de la dangerosité de ce qu'elle venait de dire le jour précédent, compte tenu de l'importance du mythe Ben Laden dans la « guerre contre le terrorisme » menée par les US et leurs alliés, et a-t-elle voulu rattraper sa gaffe ?
Sachant l'importance cruciale que représente Ben Laden dans l'opération psychologique (psyop) médiatique pour justifier auprès de l'opinion publique la politique étrangère de violence colonialiste des US, les mesures prises partout dans le monde par les gouvernements pour limiter les libertés individuelles, les programmes de surveillance rapprochée des populations civiles, les arrestations multiples de « suspects » souvent très vite relâchés, ou détenus et torturés comme à Guantanamo, la peur distillée régulièrement par les médias sur la « menace Ben Laden », Bhutto a-t-elle été éliminée, entre autres, par la CIA/ISI pour cette « gaffe » ?
À noter que le gouvernement pakistanais s'est empressé d'accuser Al Qaeda de l'assassinat de Bhutto et qu'il a cherché à dissimuler la version selon laquelle elle aurait été assassinée par balle alors qu'une vidéo prouve le contraire.
Un assassinat par balle ne correspond pas aux méthodes d'assassinat d'Al Qaeda. On peut argumenter qu'un kamikaze s'est ensuite fait exploser, mais celui-ci n'est pas, selon la vidéo de l'assassinat, celui qui a tiré. Cet assassinat s'apparente plus à une exécution de sang froid menée par des services secrets et maquillée en attentat suicide. Pour certains, l'attentat suicide aurait ciblé le tueur lui-même pour effacer toute preuve. Les preuves matérielles ont d'ailleurs été rapidement effacées car l'endroit a été vite nettoyé. Il est fort peu probable que les enquêteurs de Scotland Yard, dont le gouvernement pakistanais a finalement accepté la venue, trouve quoi que ce soit de substantiel. Cette "enquête" serait plutôt une opération de communication à destination du public pakistanais pour calmer les esprits.
Alors, Bhutto aurait-elle vendu la mèche, Ben Laden aurait-il été assassiné, est-il mort ?"
Pleinsfeux
Le désespoir de la médecine officielle
Notre société humaine est est gravement atteinte d'un mal qui lui retire toute dignité. Nous en sommes rendus au point où les pouvoirs politiques et économiques en place ont de plus en plus de difficultés à passer leurs messages mensongers et à soumettre les populations.
C'est un signe des temps qui nous dit que l'esclavage contemporain perd de plus en plus de sa subtilité et qu'il tire à sa fin. En voici une illustration éloquente ayant eu lieu dans l'un des pays les plus "civilisés" et "démocratiques", les États-Unis d'Amérique.
Il y a quelques temps, dans l'état du Maryland, On a vacciné plusieurs centaines d'enfants contre leur gré et celui de leurs parents, en empêchant ces derniers d'intervenir sous la menace des fusils et des chiens d'attaque.
Sous les ordres du ministre de la justice, on a rassemblé dans un palais de "justice", comme du bétail, les enfants dont les parents avaient refusé la vaccination et on les a vaccinés de force, empêchant les parents d'entrer. On a même menacé ces derniers de prison et de leur enlever leurs enfants s'ils n'obéissaient pas.
C'est ainsi que la médecine officielle, n'étant plus capable de convaincre la population des "bienfaits" de ses thérapies, en est rendue à utiliser la menace, la contrainte et la force pour soumettre ceux et celles qui ne croient plus en elle. Des moyens dignes de l'Inquisition et de la Gestapo.
Où est donc la liberté d'opinion et d'expression, la liberté de choisir ce qui convient le mieux à ses enfants? Et ceci ne se passe pas sous un régime totalitaire et dictatorial mais dans le pays dit de la liberté. Autrement dit, on veut criminaliser les parents et les pénaliser de vouloir protéger la santé et la vie de leurs enfants. Nous connaissons en effet de plus en plus les dangers des vaccins.
Tout ceci reflète l'incapacité grandissante de la médecine à faire valoir ses principes comme étant les seuls valables. L'utilisation de la contrainte à la pointe du fusil illustre bien son impuissance et son désespoir. Le berger veut garder son troupeau bien en vue et le soumettre à ses volontés, pour son besoin de contrôle et surtout parce que c'est très payant.
La médecine pharmaceutique est le seul système médical qui utilise les armes pour "recruter" ses malades. Quand on en est rendu là, c'est qu'on a très peur de perdre le contrôle sur la population ainsi que les bénéfices qui en découlent.
Un tel système ne pourra pas abuser ainsi des gens très longtemps. Ses jours sont comptés.
Pour plus d'information
http://www.pleinsfeux.com/index.php
http://www.aapsonline.org/press/nr-11-16-07.php
http://www.naturalnews.com/022267.html
Laurent L'Écuyer
Mafia médicale
"Le fait de ne pas croire à une chose ne la rend pas impossible. Pourquoi rejette-t-on l'idée que le corps puisse se guérir lui-même? A-t-on analysé la question? A-t-on vraiment cherché?
Il me semble que non. La plupart des gens affirment a priori que cette idée est dénuée de sens et qu'il faut se méfier de ceux qui la proclament. Tout au plus admet-on qu'elle pourrait être possible dans certains cas bénins par un retour à un mode de vie plus équilibré. On a observé la condition humaine, parfois d'une façon pouvant sembler objective et intelligente, et on en a conclu que l'homme et la femme étaient destinés à une vie de misère, de maladie et de déchéance puisque ces situations semblaient être universelles. Cependant, le fait d'être soumis à celles-ci ne signifie pas qu'elles soient nécessaires. De nombreuses personnes s'en sont libérées de façon parfois très surprenante et beaucoup d'autres n'y ont jamais été soumises.
L'autoguérison n'est pas une doctrine; les faits nous le démontrent clairement. Il existe une littérature abondante relatant l'histoire de personnes s'étant guéries de toutes sortes de maladies, y compris le cancer et le sida, alors que la médecine officielle les avait condamnées. Nous avons tous entendu parler de guérisons miraculeuses, de rémissions spontanées, de personnes ayant retrouvé la santé par un jeûne, une alimentation équilibrée, une cure quelconque, etc... Saviez-vous qu'un foie mutilé peut se régénérer complètement, que les amygdales peuvent repousser après une amygdalectomie?
D'ailleurs, chacun d'entre nous a personnellement expérimenté l'autoguérison. Vous souvient-il de vous être éraflé un doigt ou un bras? Le sang répandu s'est coagulé rapidement et a formé une croûte sur la plaie. Puis le corps s'est mis au travail et en quelques jours a réparé les tissus, ne laissant pratiquement aucune trace de la blessure. N'est-ce pas là un bon exemple de la puissance de la nature à protéger la vie? Pourtant on refuse toujours ce principe. Serait-il tellement évident qu'on ne le voie pas?
Depuis les temps les plus reculés on a assisté à ce miracle. Même Hippocrate, celui qu'on a nommé le père de la médecine, le relate dans ses écrits. Et plus près de nous, tous ces cas de guérison naturelle observés et attestés par des autorités reconnues tels Edmond Bordeaux-Szekely, Bernard Jensen, John Whitman Ray, pour ne nommer que quelques uns qui ont aidé à eux seuls des centaines de milliers de malades. Leur conclusion est toujours la même: la nature a le pouvoir d'autoguérison et il suffit, pour qu'il se manifeste, de lui en donner l'opportunité.
La maladie peut être vue comme un retour à l'équilibre accompli par le corps en compensant d'une manière ou d'une autre pour un organe dysfonctionnel. Mais c'est la guérison qui ramène l'équilibre originel par le rétablissement total de cet organe. Maladie et guérison ont en commun la recherche de l'équilibre, mais dans le premier cas, cet équilibre est instable, éphémère car la cause du problème est demeurée sous-jacente, alors que dans le second, il est stable, permanent car la cause a été éliminée. Et, comme on l'a souvent observé, le corps est réellement capable d'autoguérison à la condition qu'on n'intervienne pas dans le processus si ce n'est pour le favoriser.
Alors, pourquoi rejette-t-on du revers de la main tous ces faits et ces recherches? Pourquoi le public n'y croit-il pas? La seule réponse possible, à mon avis, est l'existence d'un pouvoir n'ayant pas intérêt à ce qu'on sache que chaque individu possède en lui la capacité naturelle de retrouver la santé et de la maintenir. C'est la mafia médicale, telle que décrite par Guylaine Lanctôt et d'autres avant elle, qui nous empêche de prendre conscience de cette réalité qu'est l'autoguérison.
Nous nous libérerons de cette emprise lorsque nous aurons réalisé que nous sommes maintenus dans l'ignorance et l'illusion. Alors seulement pourrons-nous retrouver foi en nous-mêmes et en la nature et comprendre que l'autoguérison n'est pas seulement possible mais réelle."
Laurent L'Écuyer
Seule la vie engendre la vie
Tout dans la nature est vivant. La mort n'est qu'un phénomène de transition, un passage vers une autre forme de vie.
Lorsque je parle d'un aliment dévitalisé, je parle d'un aliment qu'on a modifié et qui a perdu ainsi une partie de sa vitalité et de sa valeur nutritive. Cet aliment ne peut nous nourrir adéquatement car il est devenu incomplet. Et lorsqu'on en mange jour après jour et année après année, on devient carencé et notre santé s'affaiblit. La maladie frappe alors à notre porte.
Lorsque je parle d'un aliment mort, je parle d'un aliment qu'on a détruit et qui a perdu ainsi toute sa vitalité et sa valeur nutritive. Cet aliment n'est pas nourrissant car les éléments nutritifs qu'il possédait ont été détruits, habituellement par la chaleur mais aussi par la congélation, les micro-ondes et l'irradiation. Les enzymes (nécessaires à la digestion et à la vie en général), les vitamines (nécessaires à notre métabolisme), les acides aminés et les minéraux (nécessaires à la construction des cellules et au fonctionnement de tous les systèmes), les acides gras (nécessaires au métabolisme), les fibres (nécessaires au transit intestinal), presque tout est détruit. Il est évident qu'un aliment qui ne possède plus rien d'utile va, à la longue, nous amener vers la mort. Lorsque les cellules ne sont pas nourries, elles meurent. Évidemment, cela ne se fait pas du jour au lendemain mais après plusieurs années d'un tel régime.
"Quant à la viande, il serait préférable de ne pas en manger car nous, les humains, ne sommes pas des carnivores par nature. Cela est bien connu des milieux scientifiques mais, sous les pressions, on tient le peuple dans l'ignorance. On le rend ainsi malade pour pouvoir le "soigner" par la suite avec des médicaments toxiques. On empoisonne aussi nos fruits et légumes ainsi que le fourrage des animaux avec des engrais chimiques et des pesticides, sous prétexte d'améliorer les récoltes mais tout cela ne sert que le profit et le pouvoir... et dévitalise nos aliments. C'est une tragédie pour l'espèce humaine et pour la nature.
Les gens qui ont mangé vivant toute leur vie sont des personnes fortes, en pleine santé et débordant de vitalité. Les autres sont faibles, malades et s'acheminent péniblement vers la 'mort'.
Laurent L'Écuyer
Définition de la Naturopathie
Étymologie
Le mot "naturopathe" vient de deux termes anglais:"nature" et "path". Il signifie le chemin ou la voie de la nature.
Définition
La naturopathie est une méthode de soins visant la santé globale et optimale de toute personne, au moyen d'une gestion efficace de son mode de vie, mais aussi de son corps de manière à lui donner accès aux conditions les plus favorables possibles à sa tendance innée et puissante de s'autorétablir ou s'améliorer.
Pratique de la naturopathie
Le naturopathe agit essentiellement comme un guide des bonnes habitudes de vie. en tenant compte de la spécificité de chaque personne qui le consulte, son rôle est de scruter attentivement son mode de vie, de procéder à diverses évaluations selon les cas et de proposer des recommandations visant à atteindre les objectifs de santé souhaités. Le naturopathe ne fait pas que régler les problèmes physiques par le biais de solutions externes. Il offre une approche personnalisée de votre état de santé et est là pour vous enseigner le meilleur chemin à suivre pour atteindre un niveau de santé optimal. Consulter un naturopathe, c'est s'offrir une éducation grâce à laquelle on peut reconquérir, améliorer ou conserver soi-même sa santé. C'est ce qui s'appelle se réapproprier son pouvoir personnel grâce à la naturopathie.
Vitacru
Bothrops, el terciopelo
Extensive Tissue Necrosis of the Lower Limb in an 11-Year-Old Boy who had been bitten two weeks earlier by a Bothrops asper (viper) in Ecuador. The degree of necrosis is sufficiently severe that some form of surgical amputation below the knee would have been inevitable.
source: Wikipédia
18 bothrops capturés en Martinique pour fabriquer un nouveau sérum
Le spécialiste qui sillonnait la Martinique depuis le 10 juillet 2007 a capturé 18 trigonocéphales qui serviront à élaborer un nouveau stock de sérum anti-venimeux. On compte une vingtaine de victimes de morsure chaque année dans l'île.
L'opération a été lancée par la DSDS de la Martinique. Il s'agit de renouveler le stock de sérum anti-venimeux disponible depuis 1993 en Martinique et dont l'efficacité avait baissé ces derniers temps. Or, on compte entre 15 et 25 victimes de morsures de trigonocéphales en moyenne chaque année dans l'île. La Martinique abrite l'un des seuls serpents venimeux des petites Antilles, une espèce endémique de bothrops (famille des crotales). Les 18 serpents capturés en Martinique, dont plusieurs femelles qui se reproduiront bientôt, ont été envoyés lundi soir dans l'hexagone. Ils seront stockés à Valence où leur venin sera prélevé régulièrement. Un laboratoire lyonnais doit ensuite fabriquer le sérum. En fait, ce seront deux chevaux qui seront chargés de produire les anti-corps qui serviront à fabriquer le produit anti-venimeux. Le nouveau sérum devrait être disponible en Martinique dans deux ou trois ans.
Auteur : Jeanne Ridereau le 31/07/2007
Habemus Papam
African American
Popularisée par Malcolm X dans les années 1960, l’expression African American est devenue d'un usage commun aux États-Unis à la fin des années 1980. Son but était de définir les Américains de couleur de peau noire par une origine, comme le sont les citoyens qui ont une origine italienne ou irlandaise, et non plus uniquement par leur couleur. Cette catégorie est retenue par le bureau du recensement pour élaborer les formulaires officiels destinés à préparer des statistiques ou à accompagner des politiques de discrimination positive.
Le terme « afro-américain » est également utilisé pour désigner la culture noire américaine, comme en musique, qui est en fait un ensemble de cultures, mélange des influences africaines, européennes et américaines, développée par cette population d’origine africaine. Le jazz est une musique afro-américaine, tout comme d'autres musiques d'Amérique latine, notamment celles de Cuba et du Brésil, où les descendants des esclaves importés d'Afrique ont inventé des folklores originaux, des pas de danse et des mélodies populaires.
Wikipédia
in french
40 acres and a mule
Une loi adoptée en janvier 1865 promettait aux esclaves affranchis "40 acres (16 hectares) et une mule". Mais Andrew Johnson, qui devient président des États-Unis en avril de la même année suite à l'assassinat de Lincoln, refusera de l'appliquer. La mule du gouvernement sera donc une promesse non tenue...
"40 acres and a mule" is a term for compensation that was to be awarded to freed African American slaves after the Civil War— 40 acres (16 ha) of land to farm, and a mule with which to drag a plow so the land could be cultivated.
C'est aussi le nom choisi par Spike Lee pour sa société de production.
L’omniprésence du nombre 40 dans nos vies:
article intéressant de JP Robin du Journal des Finances.
La Puce
"Le mercredi 13 octobre 2004, la puissante et intransigeante Food and Drug Administration (FDA) américaine a autorisé la mise sur le marché de la première puce implantée sous la peau, et son utilisation par les hôpitaux américains (voir l'article de l'Atelier du 14 octobre à ce sujet).
Développée par la société Applied Digital Solutions, cette technologie a de quoi faire peur. Il s'agit d'une puce de la taille d'un petit grain de riz, qui utilise la technologie RFID et dont les dérives potentielles font l'objet de nombreux débats aux Etats-Unis comme en Europe. Insérée sous la peau du patient, elle est invisible et affecte à son porteur un numéro à 16 chiffres.
La société indique que le meilleur endroit pour placer la puce se trouve au niveau du triceps, entre le coude et l'épaule du bras droit. Un scanner propriétaire permet de lire le numéro. Il transmet une impulsion d'énergie qui « réveille » la puce - qui ne possède pas de source autonome d'alimentation, ce qui permet sa miniaturisation et fait le succès des puces RFID.
Elle ne s'use pas, n'a pas besoin d'être rechargée, est peu chère à produire… et vous accompagne partout sans même que vous ne vous en rendiez compte. Une fois « éveillée » par le scanner, elle transmet alors son numéro d'identification. Il ne reste plus qu'à se connecter de façon sécurisée par Internet à une base de données qui va contenir toutes les informations médicales du patient"...
www.verichipcorp.com
VeriChip : des puces RFID dans le bras des immigrés ?
de la société VeriChip Corporation a exposé quelques-unes de ses idées pour l’avenir. Verichip, pour mémoire est le spécialiste mondial des puces par radiofréquences et de la traçabilité. Le roi du tag, non sur les murs, mais sous la peau, n’est jamais très loin lorsqu’il s’agit de pucer à tout va.
En 2002, par exemple, trois membres d'une même famille de Floride se faisaient implanter dans le bras une VeriChip afin de collecter et d'analyser les données nécessaires à leur suivi médical. Verichip a encore des alliances avec ORBCOMM, afin de réfléchir à une association puce-GPS-satellite. En Espagne, une boîte de nuit propose elle d’implanter une VeriChip dans l’épaule des personnes afin qu’elles puissent payer leurs consommations ou leur entrée à distance. Ces implants sont encore utilisés à tour de bras dans les hôpitaux afin d’accompagner le patient avec son dossier médical « sous le bras » (le système Verimed vient justement d'être adopté par 13 nouveaux centres hospitaliers américains).
Scott Silverman a donc proposé dans cette émission de la Fox que ces puces pourraient être utilisées pour contrôler les flux migratoires : une Verichip, de la taille d'un grain de riz, seraient judicieusement implantées dans le corps des travailleurs immigrés, avant qu’ils ne viennent aux Etats-Unis dans le cadre de travail saisonnier. Il suffirait par exemple d'exiger la présence de cette puce pour donner le feu vert à la frontière « On peut penser qu’il s’agit d’une technologie appropriée qui peut être employée entre autres, pour s'assurer que des travailleurs immigrés entrant et sortant des Etats-Unis, sont correctement enregistrés » explique l’intéressé. Une mesure idéale donc pour s’assurer des contrôles exigés en la matière et qui trouverait aussi « une place au niveau de l’employeur ».
Réconcilier son masculin et son féminin
Par Nicole Cloutier
Réconcilier son masculin (Yang) et son féminin (Yin) c’est s’avoir conjuguer « faire » et « être ». Il en est de même pour nos deux hémisphères le droit et le gauche. La médecine chinoise nous offre un bel exemple avec son symbole du Yin / Yang. Le mouvement du Yin et du Yang apparaît pour la première fois dans un passage du grand commentaire (attribué à Confucius) : «Une fois yin une fois yang cela est appelé le Tao (ou Dao) ». Il est le principe universel qui gouverne la totalité du cosmos et lui assume son unité. Ce concept, bien que connu et utilisé depuis longtemps (et encore aujourd’hui) par de nombreuses écoles, ...
... est devenu dans l’esprit Occidental le symbole par excellence de la pensée Taoïste. Il désigne les principes de fonctionnement de toute chose vivante. Chez les hommes, il prend le sens d’attitude et de comportement.
Pour les « Confucianistes », il désigne les droits et les devoirs en société. Il signifie couramment " voie", l’endroit où l’on marche, le chemin que l’on suit. Le Yin et le Yang sont les deux aspects antithétique (contradictoire) et complémentaire du Dao tel qu’il se manifeste dans le monde. Aux alentours du troisième siècle avant notre ère, les lettrés Chinois qui étudiaient le Yi King, choisirent Yin et Yang comme symbole de la mutation dans son ensemble. Yin et Yang n’existent pas par eux-mêmes, ce sont des repères dans le mouvement. Ils n’ont de sens que relativement, l’un par rapport à l’autre...
Téléphonie mobile
12 bons réflexes à adopter
pour limiter son exposition
Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements Electromagnétiques
contact@criirem.org – tél : 02 43 21 18 69 – www.criirem.org
1. Pas de téléphone mobile pour les moins de 15 ans.
La croissance de leur organisme en développement les rend particulièrement vulnérables à tous les rayonnements électromagnétiques, ceux des mobiles inclus. Et plus l'exposition est précoce, plus les doses de rayonnement accumulées sont importantes. L'accès à un téléphone mobile doit être exceptionnel, en cas d'urgence par exemple.
2. Il est officiellement recommandé de ne jamais approcher un téléphone mobile en fonctionnement du ventre d’une femme enceinte (l’eau du placenta et les cellules de l'embryon sont très sensibles à l'énergie dégagée par le portable) ou à moins de 20 cm de tout implant métallique, cardiaque ou autre, afin de limiter le risque d’interférence électromagnétique.
3. Choisir et utiliser un téléphone mobile dont la valeur de DAS est la plus basse possible, de préférence toujours inférieure à 0,7 W/kg (cf. Top Das).
4. Ne pas porter son téléphone à hauteur ou contre son coeur, l'aisselle ou la hanche, près des parties génitales. Tenir l'antenne du téléphone le plus éloigné possible de soi. Même lors de l'envoi d'un SMS.
5. Toujours utiliser le kit piéton livré avec votre téléphone afin d’éloigner l'appareil de votre oreille (et de votre cerveau) le temps de la conversation. Préférer toujours l'oreillette « filaire » à tout autre gadget sans fil.
6. Limiter le nombre et la durée de vos appels. Pas plus de 5 ou 6 appels par jour par exemple, ni plus de 2 ou 3 minutes pour chacun. Respecter un temps moyen de 1h30 entre chaque appel.
7. Ne téléphoner que dans des conditions de réception maximum :
dès que votre écran affiche les "4 barrettes" de réseau, pas moins. Pour chaque barre manquante,
le rayonnement émis par le portable pour se connecter est multiplié par 2.
8. Ne pas téléphoner en vous déplaçant, ni en train, ni en voiture, ni en bus, ni à pied, ni à cheval, ni en vélo, ni en bateau, ni en patinette, ni en roller, etc.
9. Ne pas téléphoner en voiture, même à l'arrêt, ou dans tout autre infrastructure métallique. Un effet dit de "cage de Faraday" emprisonne et répercute les ondes émises par le portable, le rayonnement subi est alors maximum au centre de la "cage". Dans une voiture, cela se situe à la hauteur de votre tête.
10. Eloigner le mobile de vous et le maintenir à la verticale le temps de joindre votre correspondant et tant que la première sonnerie n'a pas retenti. Souvent un bip ou un signal visuel vous indique que vous êtes en connexion avec le numéro appelé.
11. Ne pas oublier : en public, vos voisins subissent le rayonnement émis par votretéléphone. S'éloigner permet d’éviter leur exposition passive.
12. La nuit, ne jamais conserver un téléphone mobile allumé ou en recharge à moins de 50 cm de votre tête. Toujours l'éteindre pour limiter son rayonnement et celui de l'antenne relais avec laquelle il communique (riverains exposés 24h/24).
Association 1901 N° 0723011863 – 11 rue Edith Piaf – 72 000 Le Mans
(Merci Danielle)