"Pour les hommes qui pensent selon le conformisme,
la mort est un point de crise catastrophique.
C'est la cessation et la fin de tout ce qu'on a aimé, de tout ce qui était familier, et de tout ce qui apparaissait désirable. C'est une entrée brutale dans l'inconnu et dans l'incertitude, et la solution brutale de tous les plans et projets. Peu importe combien on avait de vraie foi dans les valeurs spirituelles, peu importe combien la pensée raisonnait clairement au sujet de l'immortalité, peu importe combien les preuves de survie et d'éternité étaient concluantes, il subsiste quand même un point d'interrogation,
et l'on continue d'envisager comme possibles
une terminaison et une négation complètes,
comportant la fin de toute activité, de toute réaction du coeur,
de toutes pensées, émotions, désirs, aspirations,
et des intentions focalisées autour du noyau
central de l'être humain.
Même pour les croyants les plus déterminés, l'aspiration ardente,
la décision de survivre, et le sens de continuité
reposent encore sur la base instable d'une probabilité,
et sur le témoignage d'autrui
- qui n'est jamais réellement revenu pour exposer la vérité."
Extrait du Traité sur les Sept Rayons, Vol. V,
Les Rayons et les Initiations
Djwal khul, Le Tibétain, transmis par A.A.Bailey
de la Mort
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