Frère Philippe



L’insaisissable et atypique contacté américain George Hunt Williamson (1926-1986) ne fut pas seulement un grand ufologue, doublé d’un anthropologue et d’un archéologue de génie, mais aussi un aventurier audacieux qui inspira sans doute plus tard le personnage d’Indiana Jones à George Lucas et Steven Spielberg. C’était également un ésotériste inspiré, un grand visionnaire, dans la lignée mystique des Nicolas Roerich et autres Saint-Yves d’Alveydre ; il fonda une communauté monastique dans les Andes avant de devenir lui-même moine au début des années 1960. Ceci explique la richesse et l’intérêt exceptionnels des nombreux livres qu’il a laissés aux chercheurs de vérité en guise de testament.

Né à Chicago et fils d’un immigré slave de condition très modeste, il affirmait cependant appartenir à la haute noblesse serbe. Ce n’est qu’en 1961, à l’âge de 35 ans, qu’il décida de révéler sa véritable identité aux convives d’un mariage où il avait été invité : il déclara alors être en réalité le Prince Michael van Lazar, Duc de Sumadya, dernier représentant de la lignée des Obrenovic. Une enquête effectuée par la suite auprès des autorités yougoslaves confirma que la famille princière Obrenovic avait bien existé jadis, mais qu’on supposait que ses derniers descendants avaient été assassinés par des révolutionnaires en 1903, sans qu’aucune preuve formelle ne puisse cependant en être apportée, puisque les corps n’avaient jamais été retrouvés.

Les détracteurs de Williamson, qui niaient qu’il ait pu avoir de nombreux contacts avec des extraterrestres au cours des 10 années précédentes, cherchaient alors à le faire passer pour un mystificateur. Ils ne manquèrent donc pas de présenter cette revendication d’appartenance à la haute noblesse serbe comme une sorte d’aveu de mythomanie. Ils lui reprochaient également son amitié avec William Dudley Pelley, sensé avoir eu un passé "nazi", ce qui est non seulement loin d’être établi mais probablement à l’opposé de la vérité. Pelley était en fait un pacifiste et un adversaire de longue date des Républicains américains. Son opposition acharnée à Roosevelt, auquel il reprochait l’entrée en guerre de son pays et le partage du monde en deux blocs ennemis à Yalta, lui avait valu d’être accusé de nazisme et finalement jeté en prison durant plus de 8 années. Étrange "nazi" cependant que ce fondateur de la S.C.O., la Soul Craft Organization (l’Organisation du Vaisseau de l’Âme), qui ne rédigea pas moins de 32 gros manuscrits entièrement consacrés à des révélations transmises en écriture automatique par des Intelligences Supraterrestres lumineuses, et qui constituent un extraordinaire message d’amour et d’espoir pour l’ensemble de l’humanité.

En compagnie de Pelley, de George Adamski (dont il était également l’ami), et de quelques autres, Williamson avait participé au début des années 1950 à la création de la S.C.O., qui était une sorte de cercle de recherches en occultisme, en ufologie et en cosmogonie, dont certains estiment que la pensé dite "New Age" tira plus tard ses racines et sa quintessence spirituelle. Il fut le premier à mentionner dans ses livres l’existence de la Ceinture de Photons (confirmée depuis par les astrophysiciens) et à présenter la théorie de la coexistence dans l’univers de mondes de niveaux de densités vibratoires différentes. Il fut également le premier à évoquer l’existence d’un complot mondial visant à asservir progressivement notre humanité par le biais d’un cartel international de banquiers et de financiers contrôlés par des E.T. négatifs.

Le 20 novembre 1952, George Williamson et son épouse Betty figurèrent parmi les 6 témoins de la fameuse rencontre de George Adamski avec le Vénusien Orthon, dans le désert californien, non loin du Mont Palomar (Cf. notre page L’héritage spirituel de George Adamski. Cet événement d’une portée incommensurable, tant au plan historique, que métaphysique et cosmique, sembla le galvaniser.

Les 5 années qui s’ensuivirent furent pour lui une période de contacts fréquents avec des représentants extraterrestres en même temps que d’intense activité en tant qu’écrivain. Au début, les contacts de Williamson et de son assistant, Lyman Streeter, avec les Vénusiens s’effectuaient principalement sous forme de communications radiotélégraphiques et de channeling. Selon le journaliste Alec Hiddell, qui avait interrogé Sean Devney, un inspecteur chargé par la NSA (l’Agence américaine de sécurité) d’enquêter sur Williamson, "Quand il commençait à canaliser, il se passait des choses inexplicables. Il était capable d’utiliser plusieurs voix et de s’exprimer dans plusieurs langues différentes à tour de rôle".

Il semble qu’un palier ait été franchi par la suite et que des contacts directs avec des Vénusiens aient pu avoir lieu. Il en sortit plusieurs chefs d’œuvre, dont "The Saucers speak" ("Le Message des soucoupes volantes") constitue peut-être le plus remarquable document ufologique jamais publié à ce jour.

Un autre ufologue, le Dr. Charles Laughead, qui participa aux travaux de Williamson et préfaça plusieurs de ses livres, a écrit : « Grâce à l’assistance d’un extraordinaire jeune-homme (Williamson) qui est à la fois channel, médium et télépathe, nous avons réussi a entrer en contact avec des âmes ayant jadis traversé les initiations dans les antiques Écoles des Mystères de l’Amérique du Sud. Nos réunions concernaient un grand nombre de sujets, depuis l’histoire ancienne et les origines de notre planète, jusqu’aux questions religieuses et métaphysiques. La Fraternité créée par lui (Williamson) sert aussi de tremplin de communication avec les intelligences des autres planètes et des autres systèmes solaires, ainsi qu’avec les êtres qui habitent à l’intérieur des vaisseaux de l’espace. Il est clair que les notions abordées par certaines de ces intelligences et certains de ces êtres dépassent largement le niveau de compréhension accessible à nos intellects limités. Pour plus de simplicité, lors de nos rencontres, nous avions l’habitude de désigner les premiers sous le nom d’Êtres de l’Espace et les habitants des vaisseaux sous celui de Frères de l’Espace. »

Malgré de nombreuses approches à basse altitude au dessus de différentes villes, dont la capitale américaine, Washington, les Vénusiens ne réussirent pas à convaincre le public de leur existence. Sous la pression des services secrets américains, tous les films et photos d’ovnis réalisés à l’époque furent alors présentés par les "spécialistes" comme de grossiers montages. Afin de prouver leur existence, les Vénusiens imaginèrent donc de proposer des sortes "d’excursions" dans l’espace à bord de leurs traceurs magnétiques à une douzaine de citoyens américains, sélectionnés en fonction de leur ouverture spirituelle et de leur aptitude psychique et vibratoire à supporter le choc émotionnel induit par une telle expérience. Parmi ces "Américains" figuraient notamment Williamson et Adamski, mais face au black-out médiatique imposé par le gouvernement des États-Unis, leur témoignage n’eut finalement que peu d’impact et ils furent tournés en dérision et discrédités par l’immense majorité des médias internationaux de l’époque.


Survol de la ville de Washington par des ovnis au cours de l’été 1952. Il y eut 3 nuits d’activité particulièrement intense et de nombreux témoins (Cf. récit complet des survols de Washington)

Au milieu des années 1950, déçu de l’accueil réservé à ses travaux et des sarcasmes dont il était devenu l’objet, Williamson décida de s’extraire définitivement de l’agitation politico-médiatique ambiante teintée de maccarthysme et de s’installer dans une région reculée des Andes principalement habitée par des Indiens, où il fonda une communauté monastique, tout en commençant à voyager à travers toute l’Amérique Latine et en multipliant les contacts avec de nombreuses communautés amérindiennes.

Il passa ainsi plus de dix années au côté de Hopis, de Zunis, de Kogis, d’Aztèques et de survivants d’anciennes cultures indiennes d'Amérique du Nord et du Sud. Le chef des Hopis lui confirma les contacts de son peuple avec des Vénusiens depuis des temps immémoriaux. Il lui raconta comment une de leurs soucoupes avait atterri dans leur réserve quelques années auparavant.

De même, les Aztèques lui racontèrent dans quelles étranges circonstances ils avaient jadis cessé définitivement de pratiquer les sacrifices humains qu’ils avaient coutume d’accomplir en haut d’une pyramide. Un vaisseau vénusien avait un beau jour atterri au pied de la pyramide sacrificielle juste avant une exécution. Ses occupants avaient alors donné aux prêtres un mois lunaire pour arrêter tous les sacrifices humains. Au bout de ces 4 semaines, les chefs aztèques n'avaient toujours pas réussi à se mettre d’accord entre eux en vue de se conformer à l’injonction des Vénusiens. Au moment où un nouveau sacrifice humain était sur le point d’avoir lieu, la soucoupe des Vénusiens revint s’immobiliser face au sommet de la pyramide et la détruisit en un instant à l’aide d’un rayon de lumière (sans doute un puissant rayon laser) !

Les descendants des Incas mentionnèrent à Williamson leur tradition selon laquelle un vaisseau doré aurait un jour atterri dans les Andes et leur aurait enseigné les rudiments de leur future civilisation et les bases de leur religion solaire. Ils lui racontèrent également que l'armée d'invasion commandée par Pizarro avait rapporté cette histoire au Roi et à la Reine d’Espagne et qu’elle avait été censurée par l’Inquisition qui l’avait jugée non conforme au contenu de la Bible.

Dans son livre "Les Gîtes secrets du Lion", George Hunt Williamson raconte également les circonstances étranges qui l’amenèrent un jour à découvrir un vieux manuscrit dans un ancien temple en altitude dans les Andes. Ce manuscrit relate l’existence de colonies vénusiennes sur notre planète à l’époque dite "préhistorique"et l'assistance que les Vénusiens apportaient jadis à notre humanité en de nombreux domaines. Il précise également que leurs vaisseaux ont, à différentes reprises, sauvé les représentants les plus évolués d’humanités ayant précédé la nôtre de tremblements de terre, de raz de marée, d’inondations et même d’un précédent basculement des pôles, et qu’ils sont aujourd’hui prêts à recommencer.

Selon l’immense majorité des Amérindiens contactés par Williamson, la croyance en l’existence des Vénusiens était courante et normale dans l’Antiquité, jusqu’à ce que la censure imposée par l’Église et relayée par les gouvernements des pays occidentaux ne l’interdise.

Williamson affirme dans ses livres que certains Indiens qu’il a rencontrés conservent dans des capsules temporelles des manuscrits provenant de l'antique continent de Mu. À leur contact, il obtint des éclaircissements sur de nombreux sujets et des réponses à de nombreuses questions.

Dans "Les Gîtes secrets du Lion", qu’il publia à la suite de ces échanges, Il évoque les anciens maîtres de la Terre à l’époque où la race humaine était encore dans l'enfance. Il révèle que le savoir de nos prédécesseurs n'est pas totalement perdu car il reste consigné dans des archives secrètes accessibles à quelques très rares initiés qu’il a connus et rencontrés. Cet ouvrage intrigant et très recherché repose sur la traduction de très anciens manuscrits, conservés dans une cité occulte du Pérou et gardés jusqu’à "la fin des temps" par un mystérieux collège composé de 144 "Étudiants de la Vie".

Williamson y explique notamment que certains des "dieux" de l'Antiquité furent en fait des visiteurs de l'espace. Il révèle qui était Akénathon et pourquoi les Pharaons étaient appelés les "descendants du Soleil", indiquant au passage qu’il existe un temple secret sous le Sphinx et qu’un vaisseau spatial est enterré sous la Grande Pyramide. Il raconte comment Moïse traversa la Mer Rouge et ce qui se passa réellement au moment de la résurrection et de l’Ascension du Christ.

À la fin des années 1950, Williamson revint en Californie pour y être ordonné prêtre selon la Tradition Nestorienne (l’Ancienne Église de l’Orient), qui refuse de voir en Marie la mère de Dieu, mais la considère comme la mère d’un homme, Jésus qui ne fut lui-même visité par l’Esprit Saint que bien des années après sa naissance. (L’ésotérisme nestorien présente un autre aspect de Marie, celui de la Vierge Cosmique, épouse du Père Céleste et Mère des mondes). Puis il rejoignit l’Amérique du Sud.

En 1965, alors qu’il participait à une expédition archéologique au Pérou, il disparut mystérieusement, dans des conditions qui ne se sont pas sans évoquer l’étrange "volatilisation" de Nicolas Roerich dans les Himalayas et sa réapparition tout aussi mystérieuses des semaines plus tard. Certains le croyaient mort, d’autres étaient persuadés qu’il se trouvait à bord d’un vaisseau, d’autres encore estimaient qu’il avait rejoint (comme Roerich ?) une cité du monde intérieur à travers l’un des nombreux corridors d’accès à la Terre Creuse qui semblent exister dans la région de la Cordillère des Andes.


George H. Williamson, alias Frère Philippe,
quelque temps avant son étrange disparition de 1965


Personne ne sut jamais ce que fit Williamson au cours des 10 dernières années de sa vie. On sait simplement qu’il passa beaucoup de temps en Arizona.

Il faut savoir que, dans ses livres, George Hunt Williamson parle beaucoup de l'Arizona, qu'il traduit par "la Zone d'Or" (ARI- ZONA), et qu’il considère comme une terre magique et sacrée.

Notons au passage que le mot OR (UR, lumière) et le mot GE (Gaïa, la Terre) se retrouvent réunis dans le prénom GEORGE (GE-OR-GE) qu’on retrouve fréquemment chez les contactés : George Adamski, George Hunt Williamson, George King, George Van Tassel, Giorgio Bongiovanni ... Un autre grand contacté, Pierre Monnet, a déclaré un jour qu’il avait eu la vision d’un Ange en or en traversant la ville d’Orange (OR-ANGE).

Après son mystérieux séjour en Arizona, George Hunt Williamson revint une nouvelle fois en Californie en 1985 où il quitta définitivement notre plan d’existence quelques mois plus tard (en janvier 1986) dans des conditions également très mystérieuses, juste après avoir mis en évidence le problème posé par deux comètes qui avaient pénétré dans la ceinture du Soleil et en étaient ressorties intactes.

ERE NOUVELLE - OdR Août 2006



Annexe : Néfertiti au Tibet, par George Hunt Williamson

« Dans l'histoire de l'Égypte, il y a un moment où l’on ne trouve plus aucune trace de l'existence de Néfertiti. En fait, elle disparut vraiment, car elle quitta l'Égypte et se rendit dans une École de Mystères du Tibet. Sa fabuleuse beauté et sa grande richesse ne la détournèrent jamais de l'Œuvre. Elle relata aux Grands Maîtres et Adeptes de l'Inde, du Tibet, et même du Pérou, près du lac Titicaca, le travail des fidèles d'Aton et leur expliqua à quel point l'Expérience Divine avait réussi en Égypte.

Un jour, des tablettes d'argile seront découvertes dans ces École Mystérieuses, et on s'apercevra qu'elles ont été écrites par Néfertiti elle-même ! Mais elles ne furent pas apportées d'Égypte jusqu'à ces Écoles. Lorsque les savants examineront au microscope l'argile utilisée pour ces tablettes, ils constateront que celle-ci provient des régions où les tablettes furent découvertes, et non d'Égypte !... Preuve absolue que Néfertiti se rendit bien en ces lieux !

Ces manuscrits établiront des points très importants de l'Histoire. Il existe actuellement une très grande confusion dans le système de datation de l'Antiquité, parce que les prêtres d'Amon changèrent délibérément les dates sur certains monuments, dans l'intention d'effacer les événements survenus durant le règne d'Akhenaton. Ils voulaient être certains qu'Aton ne connaîtrait jamais une nouvelle Aube !

NOTE : Aton était le Dieu du Soleil. Il fut érigé en Dieu Unique par Aménophis IV devenu Akhenaton. Les prêtres d’Amon, qui servaient les Forces de l’Ombre, s’opposèrent au culte d’Aton et firent assassiner Akhenaton.

Les forces négatives voulaient décourager les futurs chercheurs, et les empêcher de découvrir la vérité sur la vie et l’œuvre d'Akhenaton. D'un autre côté, il incom¬bait aux fidèles d'Aton survivants, de préserver les manuscrits pour l'homme futur. C'est pourquoi Néfertiti déposa des écrits, relatant leur histoire, en différents endroits au Tibet, aux Indes et en Amérique du Sud. D'autres fidèles en déposèrent au cœur de la Terre elle-même... La Vérité devait demeu¬rer accessible !

Durant son périple, Néfertiti fut toujours protégée par les mains d'Aton tendues vers la Terre : « La Dame royale, Dame de grâce, douce par son Amour; grande par son Amour; Maîtresse du Nord et du Sud, chérie par Aton, l'épouse du Roi, qui l'aima, la belle Néfertiti est vivante pour l'éternité... »

À cette époque, deux jeunes hommes à la peau brune reçurent l'ordre d'Aménophis (Iemhotep dans une autre incarnation) de venir en Égypte et de servir de gardes du corps au Pharaon Toutankhamon. Du moins, ce fut la raison apparente de leur venue. Mais, en réalité, ces deux hommes étaient des adeptes de la "science mentale". Ils descendaient d'une très vieille et très savante race qui existait en Afrique, alors que la civilisation de l'Atlantide ne faisait que commencer. Ce peuple étrange ne possédait pas une culture très avancée d'un point de vue matérialiste mais le développement mental des individus était étonnant. Ceux-ci pouvaient arrêter des armées en marche, grâce à de puissantes ondes de pensées et à des vibrations mentales !

Les deux hommes, qui étaient des frères jumeaux, étaient les fils d'un grand Adepte de la Magie Blanche; ils furent envoyés en Égypte avec la double mission, de protéger, d'abord, le Pharaon, ensuite, d'émettre autour de certains temples et de certaines chambres secrètes, des ondes vibrationnelles de pensée, d'un genre particulier : ces ondes devaient persister à travers les siècles et écarter des emplacements secrets des manuscrits tous les chercheurs indésirables, intrus dont la fréquence mentale était opposée à la leur.

Il faut mentionner ici que, dès la mort d'Akhenaton, le "Petit Exode" des Hébreux commença. Étant donné la confusion politique et l'atmosphère de guerre civile qui régnait, les Égyptiens n'y prêtèrent aucune attention. Il leur importait peu qu'ils partent ou qu'ils restent. Aussi, beaucoup quittèrent l'Égypte, ainsi qu'un certain nombre d'Égyptiens fuyant la colère d'Amon. Alors commença l'Exode. Il dura plusieurs années. Il eut lieu par vagues successives de petits groupes s'en allant à différents moments, jugés opportuns. Mais un "Grand Exode" s'ensuivit…

Maya (qui était le Trésorier Royal) se sentit alors dans une position très assurée, puisqu'il était le seul dans toute l'Égypte à détenir le secret des entrées vers les salles des trésors, sous la Grande Pyramide, sous le Sphinx - et dans le Temple des Splendeurs d'Hatshepsout. Les Pharaons eux-mêmes avaient les yeux bandés lorsqu'il les conduisait dans ces chambres!

Plusieurs milliers d'années avant la XVIIIème Dynastie d'Égypte, Maya avait été le Prince régnant de Lémurie, Ilipaamun avait été la "Dame du Soleil" et Toutankhamon avait été "Merk". Nous trouvons donc, à cette période, les mêmes entités réunies à nouveau, pour une même tâche commune!

Toutankhamon servait une fois de plus de Messager, transmettant des instructions, issues de plans supérieurs. Maya conduisait son peuple une nouvelle fois, et Ilipaamun était historienne et gardienne des manuscrits. Dans la maison de Maya, de très nombreux témoignages furent inscrits sur des tablettes d'argile et des papyrus, par tous ceux qui se retrou¬vaient là régulièrement.

Ces tablettes n'ont pas encore été découvertes lors des fouilles archéologiques, mais elles le seront bientôt. Elles relatent la venue du Peuple de l'Espace en Égypte, l’histoire des premiers Pharaons qui furent des extraterrestres avant de s'incarner sur Terre, pour apporter la Lumière à l'humanité. Elles révèlent le but réel de la vie et de l'œuvre d'Akhenaton. Il y a même des manuscrits apportés d'autres planètes habitées!

Peu de temps après que tout ce travail eut été effectué dans la maison de Maya, la princesse Meriten, fille d'Amenhotep III et de Sitamun, fut assassinée par des pillards dans la ville d'Akhtaton. Elle se trouvait dans l'atelier de son amant, le grand artiste Thotmès, fils aîné de Cato. Thotmès sculpta le buste de Néfertiti connu du monde entier, en pierre calcaire peinte. Il exécuta aussi le grès brun représentant la même gracieuse dame, de nombreuses têtes et des masques d'Akhenaton lui-même ainsi que d'autres œuvres remarquables.

Bek et Auta, les frères de Thotmès, avaient été assassinés à Thèbes, la nuit où, à Akhtaton, le Pharaon Akhenaton fut assassiné. Et lorsque Thotmès et Meriten furent surpris et tués par des pillards, ils venaient juste d'enterrer précipitamment le fameux buste de Néfertiti. Ce dernier devait être découvert des siècles plus tard par une expédition allemande, durant les fouilles de Telel-Amarna.

Meriten était elle-même une artiste. Elle avait étudié les symboles anciens. Elle avait été chargée de la décoration du temple d'Aton à Akhtaton.

Maya s'était rendu dans les chambres secrètes, souterraines, de la Grande Pyramide, et il en avait rapporté un antique bâton-vril qu'il donna à Toutankhamon. Ce vril protégea ultérieurement le roi-enfant. Certaines statues de Toutankhamon le représentent, tenant à la main d'étranges "baguettes".

C'est à cette même époque que Maya prit deux des boules de cristal, amenées à l'origine par les visiteurs de l'espace durant la construction de la Grande Pyramide. Chacune de ces boules était faite de neuf sections, assemblées et soudées entre elles pour former un globe ou une boule. Lorsque la lumière passait à travers la boule, celle-ci se transformait d'une façon tout à fait extraordinaire, et l'on pouvait voir partiellement le passé et le futur! Mais l'utilisateur de la boule de cristal devait parvenir à un niveau élevé de concentration mentale pour obtenir ce résultat.

Ces boules étaient utilisées télépathiquement, com¬me un écran, pour explorer le temps. Les prêtres d'Amon n'étaient pas au courant de leur existence. De toute façon, ils n'auraient pu en tirer aucun parti, car ces globes ne pouvaient être utilisés dans un but négatif! Plusieurs de ces boules de cristal se trouvent toujours sous le Sphinx! Nostradamus en possédait une, et elle lui servit considérablement pour ses prophéties!

Le globe et le sceptre des souverains ultérieurs ont pour origine cette boule de cristal et le bâton-vril... anciens symboles du pouvoir! »

Extrait de "Les Gîtes secrets du Lion"
de George Hunt Willamson – 1958

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