"Tous ceux qui mangent dans un self ou une cantine on la possibilité de voir la quantité de nourriture qu’il reste sur les plateaux lorsque le repas est fini. Le phénomène est aussi visible chez nous, mais nous en mesurons plus facilement l’ampleur dans la restauration collective. Chaque jour, ce sont des tonnes de nourriture qui partent à la poubelle car non consommées par ceux qui les ont prises.
Un gaspillage qui fait parti de notre mode de vie. La peur de manquer, la peur de ne pas avoir assez à manger, nous incite à remplir nos assiettes plus que de raison. C’est d’ailleurs assez pathétique de voir l’acharnement que certains mettent à remplir une coupe ou une assiette lorsque les entrées ou les desserts sont vendus non pas au poids, mais au récipient. Certains arrivent à ériger de véritables cathédrales d’hors-d’oeuvre dans une petite assiette pour éviter de payer les quelques centimes supplémentaires que leur aurait coûté une grande assiette. Arrivé aux caisses, les récipients débordent de compotes, fromage blanc, car s’arrêter à un millimètre du bord nous aurait laissé l’impression d’avoir été floué de quelques microcentimes. Oui, nous en sommes là...
Parmi tout ce gâchis, il y a celui de la chair animale. Chaque jours les tonnes de viande et de poissons jetées renvoie l’image d’animaux morts pour rien! D’animaux nourris et abattus sans avoir apporté la moindre calorie, la moindre protéine, à ceux qui justifie la boucherie par le besoin de se nourrir. Tout ça, simplement pour avoir eu peur de manquer, de ne pas être rassasié en fin de repas.
nous payons cette peur de plus en plus cher. en moyenne, 10 kg de céréales sont nécessaire pour faire un kilo de viande. Le cours des céréales s’envolent, mais nous gaspillons toujours autant de viande. Chaque kilo de viande jetée représente 10 kilos de céréale soustrait à l’alimentation humaine.
si on considère le bilan écologique, c’est encore pire. Des produits chimiques répandus sur et dans les sols, l’énergie consommée pour produire engrais, pesticides et faire fonctionner les élevages, les nappes phréatiques polluées, les tonnes de CO2 émises, tout ça pour rien"...
Source: Enerzine
La peur de manquer
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Gobal warming
L'Islande veut partager son expérience exemplaire
(src : CP - ONU)
Le Président de l’Islande a proposé jeudi sa feuille de route dans la lutte contre les changements climatiques. M. Olafur Ragnar Grimmson a promis d’honorer « son obligation morale » de partager avec le reste du monde les connaissances et les technologies accumulées par son pays en moins de 30 ans.
À la tête d’un « véritable laboratoire », M. Grimmson a livré ses propos au cours d’une conférence de presse qu’il a donnée jeudi au Siège new-yorkais de l’ONU, en compagnie de son Représentant permanent auprès des Nations Unies, M. Hjalmar W. Hannesson, et de la Directrice exécutive de l’Institut de l’énergie et des ressources (TERI), Mme Leena Srivastava.
« Je refuse de croire que l’Islande est un cas spécifique qui ne peut être dupliqué ailleurs », s’est insurgé le Président devant le défi « colossal » d’inverser la tendance du réchauffement climatique.
Aujourd’hui en Islande, plus de 70% de la consommation d’énergie proviennent d’énergies hydroélectrique et géothermique. D’ici à 2050, le pays s’est fixé comme objectif de devenir le premier pays au monde totalement indépendant des ressources fossiles et polluantes, à savoir l’objectif d’atteindre un taux de 100% d’énergie renouvelable.
Aujourd’hui dans le monde, le consensus est clairement là. Les technologies et les mécanismes de financement existent déjà, a estimé le Président de l’Islande, jugeant qu'il ne manquait que la volonté politique de transformer complètement les systèmes énergétiques. Combien de temps nous faut-il pour prendre les choses en main, s’est-il emporté, en prônant dès à présent la mobilisation d’un partenariat fort entre les pays et les secteurs privés du Nord et du Sud.
Approuvant ses propos, la Directrice de TERI a indiqué qu’en Inde, le défi est de mener de front les activités d’adaptation aux changements climatiques et d’atténuation de ce phénomène. Pour elle, les technologies d’atténuation existent bel et bien mais elles restent bien souvent hors de portée du citoyen ordinaire. L’Inde met donc l’accent sur l’adaptation et son corollaire, la modification des modes de vie, mais comment informer les populations et promouvoir des solutions ?, s'est-elle interrogée.
Il n’y a pas de solution à taille unique, a souligné le Président islandais, en prônant une conjugaison de plusieurs technologies, non seulement dans le domaine de l’énergie mais aussi, par exemple, dans le domaine de la construction qui continue d’ériger des immeubles à grande consommation d’énergie.
Aucun traité ne suffira à accélérer les efforts, a prévenu le Président, qui a appelé à un changement « révolutionnaire » des mentalités à l’instar de celui qui a eu lieu, du point de vue politique, à la fin de la guerre froide.
Le Président de l’Islande a estimé que les appels à la prudence lancés par des pays comme les États-Unis ou la Chine selon lesquels ces efforts compromettraient le développement économique national ne sont pas justifiés.
En 1975, a-t-il rappelé, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) classait l’Islande au rang des pays les moins développés d’Europe. Aujourd’hui, l’Islande est au quatrième rang mondial pour la compétitivité de ses entreprises, affichant un taux de croissance de 2,6%, un taux de chômage variant entre 1,7 et 3% et un produit national brut (PNB) par habitant classé au cinquième rang mondial.
La transformation des systèmes énergétiques n’est pas pour rien dans ce succès économique, a affirmé le Président. Le rythme de la transformation peut varier d’un pays à l’autre mais l’équation reste la même; plus d’énergie propre signifie plus de profits, a ajouté le Président, avant que la Directrice exécutive de TERI ne dise qu’il ne s’agit pas seulement de PNB mais aussi d’« équité et d’éthique ».
Compte tenu des « enjeux énormes », même le système de commerce du carbone n’est pas une solution, a estimé le Président islandais. « Vous savez, dans mon pays, a-t-il confié, les entreprises étrangères, surtout les plus polluantes, affluent pour s’inspirer du cas de l’Islande, conscientes du coût exorbitant que va impliquer ce commerce ».
En 2005, 62% de la production d’électricité en Islande, qu’elle soit d’origine hydroélectrique -80,9%- ou géothermique -19,1%-, a été utilisée pour les besoins des industries de production à haute intensité énergétique. Parmi celles-ci, l’industrie de l’aluminium est la plus importante puisqu’elle absorbe à elle seule 48% de la production d’électricité.
Quant aux biocarburants, le Président a montré les mêmes réticences face au risque que leur utilisation pose pour la sécurité alimentaire. En Inde, a renchéri la Directrice exécutive de TERI, cette solution poserait le problème de l’eau et de la terre.
Le Président islandais a tenu à souligner que le Conseil de l’Arctique est la seule organisation non multilatérale où siègent côte à côte, les États-Unis et la Fédération de Russie. Pendant la guerre froide, a-t-il avoué, le Conseil n’a pas été très actif mais il y a quatre ans, il a publié un Document « fondamental » qui n’a rien à envier, a-t-il plaisanté, à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
Plus sérieusement, le Président a indiqué que ce Document démontre la manière dont les changements climatiques se font ressentir dans l’Arctique trois fois plus vite que les prévisions scientifiques ne le laissaient penser. La plus grande cause des changements climatiques qu’est la fonte des glaciers de l’Arctique doit nous servir de sonnette d’alarme, a insisté le Président, en conseillant aux pays concernés de créer leur propre conseil de l’Himalaya.
http://www.enerzine.com/14/4230+L-Islande-veut-partager-son-experience-exemplaire+.html
Vaccination: erreur médicale du siècle
Dr Louis DE BROUWER:
« ...Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l'acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut.
Or, il n'a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger... Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale du siècle et mène l'humanité à une disparition prématurée. On ne compte plus aujourd'hui les cas de mort subite du nourrisson, sclérose en plaque, maladie d'Alzheimer, cancers, dermatoses, et d'affections nouvelles incurables dues aux vaccins...
L'individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus... »
...
La vie de l’esclave
"La quatrième conférence du CM98 portait ce dimanche 27 janvier à Saint-Denis sur la vie de l’esclave. Un sujet a priori anodin tant nous avons l’impression d’avoir tout entendu à ce propos. Franck Salin (dit Frankito), historien et conférencier de cette fin de semaine, nous prouvera le contraire.
Tout d’abord, il convient de comprendre ce que recouvre ce vocable d’esclave. Le Petit Robert, nous explique l’intervenant, le définit comme un être privé de liberté. Une définition un peu courte, largement étoffée par le Code Noir (1685-1848) de sinistre mémoire au travers de différents articles.
Le plus révélateur d’entre eux est sans conteste l’article 44, qui définit les esclaves comme des « meubles », complété par l’article 30 qui leur interdit d’« être pourvus d’offices ni de commissions… » et, enfin, par l’article 12 qui fixe la condition héréditaire des esclaves : « Les enfants qui naîtront de mariages entres esclaves seront esclaves et appartiendront aux maîtres des femmes esclaves, et non à ceux de leur mari, si le mari et la femme ont des maîtres différents. »
« Le fouet est partie intégrante du régime colonial ».
Pour parachever le tout, le code Noir qui régissait de manière précise la vie des esclaves a été augmenté de recueils de conditions particulières qui adaptaient les règles à la situation locale. Ainsi le Code la Martinique a été édité en 1767 et le Code de la Guadeloupe et de ses dépendances en 1769.
L’esclave vivait ainsi dans un régime répressif. Avec le poids de l’Etat, via le Code Noir et les différentes lois, l’Eglise, dont le rôle était de christianiser les esclaves et de leur enseigner la soumission, et, bien entendu, le maître, expert en tortures psychologiques et violences physiques pour dominer ses esclaves.
Victor Schoelcher le dira lui-même : « Le fouet est partie intégrante du régime colonial ». L’idée de base était simple : façonner les esclaves dès leur plus jeune âge pour les créoles, nés dans les îles, et dès leur arrivée pur les « bossales », ceux arrivés d’Afrique.
Les esclaves logeaient dans des cases. Généralement, une « pyès kaz » de 15 m² ou un « dé pyès kaz ». Le toit de la case était en paille, les murs en planche ou en gaulette, ou encore en bouse de vache. Le sol en terre battue accueillait, dans le meilleur des cas, des paillasses et le mobilier de cette case mal aérée était des plus spartiates.
La vie quotidienne
La vie de l’esclave était rythmée par les récoltes. La culture de la canne à sucre, étant largement majoritaire, les esclaves voyaient l’année, les mois les semaines et les jours défiler en fonction des exigences de la canne. Ainsi, de décembre à juillet, c’était la période de « roulaison », coupe de la canne, transport dans les moulins, etc., de juillet à septembre la « sarclaison » et de novembre à décembre, le nettoyage et l’entretien des champs.
Ramené à la semaine, l’emploi du temps de l’esclave était le suivant : lundi au vendredi « travay a blan-la ». Le samedi étant consacré au jardin (samedi jardin) et le dimanche au repos dominical. Mais il n’était pas rare en période de roulaison de travailler le weekend et même la nuit. Car l’esclave était avant tout un travailleur.
Levé à 5 heures du matin, une demi-heure avant l’aube, l’esclave n’avait guère de répit avant 18 heures, heure à laquelle nombre d’entre eux allaient s’occuper de leur jardin pour y planter ou récolter de quoi survivre. Car, si le maître devait leur assurer la subsistance, il s’acquittait rarement de cette obligation se déchargeant souvent sur le jardin de l’esclave.
Et qu’y récoltait-on ? Principalement du manioc, base de l’alimentation, des ignames, des pois. L’esclave souffrait d’une carence évidente de protéines, car la viande faisait cruellement défaut. Il allait la chercher dans les crabes qu’il chassait pour compléter son alimentation. Ce mode de vie, provoquait de nombreuses maladies et bien entendu une mortalité importante.
On estime l’espérance de vie des esclaves à 40 ans. A la fin du 18e siècle, le taux de mortalité se situait à 40 pour mille habitants à la Guadeloupe et 50 pour mille à la Martinique. A comparer avec les 34 pour mille en France métropolitaine pour la même période.
Désir de liberté
Il n’est donc pas étonnant que dans un tel système les esclaves aient la même aspiration : la liberté. Mais, les voies pour y arriver n’étaient pas simples. Le marronnage est le moyen le plus connu. Cette pratique était toutefois très marginale en Guadeloupe et en Martinique, notamment en raison de la faible superficie des deux îles.
Les révoltes n’ont pas connu plus de succès. Elles ont toutes échoué. Saint-Domingue fait figure d’exception avec le soulèvement de 1791 à 1804 qui a entraîné l’indépendance de l’île et la création d’Haïti, première République noire. Dans les autres Antilles françaises, l’espoir était ailleurs.
Nombreux sont les esclaves qui espéraient être affranchis par leurs maîtres en récompense de bons et loyaux services. D’autres comptaient sur la voie du métissage pour quitter la malédiction de l’esclavage, et d’autres encore tentaient d’amasser un pécule en vue de racheter leur liberté.
Il existait aussi des cas de la « liberté savanne », des esclaves libres de fait, à la suite d’un marronnage ou encore parce que leur ancien maître rechignait à payer le notaire pour leur accorder la liberté sur le papier.
Nos aïeux
« Nos aïeux esclaves ont vécu une vie de labeur difficile et déshumanisante », conclura Franck Salin. Un système reposant sur le contrôle social et la division. Et Frankito d’aller plus loin dans son exposé en demandant à l’assistance visiblement passionnée, qu’est-ce qu’il est advenu, après deux siècles d’esclavage, de ces hommes et de ces femmes que la France à libérés.
La question reste ouverte. Une partie de la réponse nous sera certainement apportée lors de la prochaine conférence sur la saga familiale des Gordien et Colin, présentée par le Dr Emmanuel Gordien, intitulée : « Comment j’ai retrouvé mon aïeul esclave ». Un exposé qui nous montrera que les esclaves, nos arrière-grands-parents, sont vraiment très proches de nous."
Extrait du site CM98
Frère Philippe
L’insaisissable et atypique contacté américain George Hunt Williamson (1926-1986) ne fut pas seulement un grand ufologue, doublé d’un anthropologue et d’un archéologue de génie, mais aussi un aventurier audacieux qui inspira sans doute plus tard le personnage d’Indiana Jones à George Lucas et Steven Spielberg. C’était également un ésotériste inspiré, un grand visionnaire, dans la lignée mystique des Nicolas Roerich et autres Saint-Yves d’Alveydre ; il fonda une communauté monastique dans les Andes avant de devenir lui-même moine au début des années 1960. Ceci explique la richesse et l’intérêt exceptionnels des nombreux livres qu’il a laissés aux chercheurs de vérité en guise de testament.
Né à Chicago et fils d’un immigré slave de condition très modeste, il affirmait cependant appartenir à la haute noblesse serbe. Ce n’est qu’en 1961, à l’âge de 35 ans, qu’il décida de révéler sa véritable identité aux convives d’un mariage où il avait été invité : il déclara alors être en réalité le Prince Michael van Lazar, Duc de Sumadya, dernier représentant de la lignée des Obrenovic. Une enquête effectuée par la suite auprès des autorités yougoslaves confirma que la famille princière Obrenovic avait bien existé jadis, mais qu’on supposait que ses derniers descendants avaient été assassinés par des révolutionnaires en 1903, sans qu’aucune preuve formelle ne puisse cependant en être apportée, puisque les corps n’avaient jamais été retrouvés.
Les détracteurs de Williamson, qui niaient qu’il ait pu avoir de nombreux contacts avec des extraterrestres au cours des 10 années précédentes, cherchaient alors à le faire passer pour un mystificateur. Ils ne manquèrent donc pas de présenter cette revendication d’appartenance à la haute noblesse serbe comme une sorte d’aveu de mythomanie. Ils lui reprochaient également son amitié avec William Dudley Pelley, sensé avoir eu un passé "nazi", ce qui est non seulement loin d’être établi mais probablement à l’opposé de la vérité. Pelley était en fait un pacifiste et un adversaire de longue date des Républicains américains. Son opposition acharnée à Roosevelt, auquel il reprochait l’entrée en guerre de son pays et le partage du monde en deux blocs ennemis à Yalta, lui avait valu d’être accusé de nazisme et finalement jeté en prison durant plus de 8 années. Étrange "nazi" cependant que ce fondateur de la S.C.O., la Soul Craft Organization (l’Organisation du Vaisseau de l’Âme), qui ne rédigea pas moins de 32 gros manuscrits entièrement consacrés à des révélations transmises en écriture automatique par des Intelligences Supraterrestres lumineuses, et qui constituent un extraordinaire message d’amour et d’espoir pour l’ensemble de l’humanité.
En compagnie de Pelley, de George Adamski (dont il était également l’ami), et de quelques autres, Williamson avait participé au début des années 1950 à la création de la S.C.O., qui était une sorte de cercle de recherches en occultisme, en ufologie et en cosmogonie, dont certains estiment que la pensé dite "New Age" tira plus tard ses racines et sa quintessence spirituelle. Il fut le premier à mentionner dans ses livres l’existence de la Ceinture de Photons (confirmée depuis par les astrophysiciens) et à présenter la théorie de la coexistence dans l’univers de mondes de niveaux de densités vibratoires différentes. Il fut également le premier à évoquer l’existence d’un complot mondial visant à asservir progressivement notre humanité par le biais d’un cartel international de banquiers et de financiers contrôlés par des E.T. négatifs.
Le 20 novembre 1952, George Williamson et son épouse Betty figurèrent parmi les 6 témoins de la fameuse rencontre de George Adamski avec le Vénusien Orthon, dans le désert californien, non loin du Mont Palomar (Cf. notre page L’héritage spirituel de George Adamski. Cet événement d’une portée incommensurable, tant au plan historique, que métaphysique et cosmique, sembla le galvaniser.
Les 5 années qui s’ensuivirent furent pour lui une période de contacts fréquents avec des représentants extraterrestres en même temps que d’intense activité en tant qu’écrivain. Au début, les contacts de Williamson et de son assistant, Lyman Streeter, avec les Vénusiens s’effectuaient principalement sous forme de communications radiotélégraphiques et de channeling. Selon le journaliste Alec Hiddell, qui avait interrogé Sean Devney, un inspecteur chargé par la NSA (l’Agence américaine de sécurité) d’enquêter sur Williamson, "Quand il commençait à canaliser, il se passait des choses inexplicables. Il était capable d’utiliser plusieurs voix et de s’exprimer dans plusieurs langues différentes à tour de rôle".
Il semble qu’un palier ait été franchi par la suite et que des contacts directs avec des Vénusiens aient pu avoir lieu. Il en sortit plusieurs chefs d’œuvre, dont "The Saucers speak" ("Le Message des soucoupes volantes") constitue peut-être le plus remarquable document ufologique jamais publié à ce jour.
Un autre ufologue, le Dr. Charles Laughead, qui participa aux travaux de Williamson et préfaça plusieurs de ses livres, a écrit : « Grâce à l’assistance d’un extraordinaire jeune-homme (Williamson) qui est à la fois channel, médium et télépathe, nous avons réussi a entrer en contact avec des âmes ayant jadis traversé les initiations dans les antiques Écoles des Mystères de l’Amérique du Sud. Nos réunions concernaient un grand nombre de sujets, depuis l’histoire ancienne et les origines de notre planète, jusqu’aux questions religieuses et métaphysiques. La Fraternité créée par lui (Williamson) sert aussi de tremplin de communication avec les intelligences des autres planètes et des autres systèmes solaires, ainsi qu’avec les êtres qui habitent à l’intérieur des vaisseaux de l’espace. Il est clair que les notions abordées par certaines de ces intelligences et certains de ces êtres dépassent largement le niveau de compréhension accessible à nos intellects limités. Pour plus de simplicité, lors de nos rencontres, nous avions l’habitude de désigner les premiers sous le nom d’Êtres de l’Espace et les habitants des vaisseaux sous celui de Frères de l’Espace. »
Malgré de nombreuses approches à basse altitude au dessus de différentes villes, dont la capitale américaine, Washington, les Vénusiens ne réussirent pas à convaincre le public de leur existence. Sous la pression des services secrets américains, tous les films et photos d’ovnis réalisés à l’époque furent alors présentés par les "spécialistes" comme de grossiers montages. Afin de prouver leur existence, les Vénusiens imaginèrent donc de proposer des sortes "d’excursions" dans l’espace à bord de leurs traceurs magnétiques à une douzaine de citoyens américains, sélectionnés en fonction de leur ouverture spirituelle et de leur aptitude psychique et vibratoire à supporter le choc émotionnel induit par une telle expérience. Parmi ces "Américains" figuraient notamment Williamson et Adamski, mais face au black-out médiatique imposé par le gouvernement des États-Unis, leur témoignage n’eut finalement que peu d’impact et ils furent tournés en dérision et discrédités par l’immense majorité des médias internationaux de l’époque.
Survol de la ville de Washington par des ovnis au cours de l’été 1952. Il y eut 3 nuits d’activité particulièrement intense et de nombreux témoins (Cf. récit complet des survols de Washington)
Au milieu des années 1950, déçu de l’accueil réservé à ses travaux et des sarcasmes dont il était devenu l’objet, Williamson décida de s’extraire définitivement de l’agitation politico-médiatique ambiante teintée de maccarthysme et de s’installer dans une région reculée des Andes principalement habitée par des Indiens, où il fonda une communauté monastique, tout en commençant à voyager à travers toute l’Amérique Latine et en multipliant les contacts avec de nombreuses communautés amérindiennes.
Il passa ainsi plus de dix années au côté de Hopis, de Zunis, de Kogis, d’Aztèques et de survivants d’anciennes cultures indiennes d'Amérique du Nord et du Sud. Le chef des Hopis lui confirma les contacts de son peuple avec des Vénusiens depuis des temps immémoriaux. Il lui raconta comment une de leurs soucoupes avait atterri dans leur réserve quelques années auparavant.
De même, les Aztèques lui racontèrent dans quelles étranges circonstances ils avaient jadis cessé définitivement de pratiquer les sacrifices humains qu’ils avaient coutume d’accomplir en haut d’une pyramide. Un vaisseau vénusien avait un beau jour atterri au pied de la pyramide sacrificielle juste avant une exécution. Ses occupants avaient alors donné aux prêtres un mois lunaire pour arrêter tous les sacrifices humains. Au bout de ces 4 semaines, les chefs aztèques n'avaient toujours pas réussi à se mettre d’accord entre eux en vue de se conformer à l’injonction des Vénusiens. Au moment où un nouveau sacrifice humain était sur le point d’avoir lieu, la soucoupe des Vénusiens revint s’immobiliser face au sommet de la pyramide et la détruisit en un instant à l’aide d’un rayon de lumière (sans doute un puissant rayon laser) !
Les descendants des Incas mentionnèrent à Williamson leur tradition selon laquelle un vaisseau doré aurait un jour atterri dans les Andes et leur aurait enseigné les rudiments de leur future civilisation et les bases de leur religion solaire. Ils lui racontèrent également que l'armée d'invasion commandée par Pizarro avait rapporté cette histoire au Roi et à la Reine d’Espagne et qu’elle avait été censurée par l’Inquisition qui l’avait jugée non conforme au contenu de la Bible.
Dans son livre "Les Gîtes secrets du Lion", George Hunt Williamson raconte également les circonstances étranges qui l’amenèrent un jour à découvrir un vieux manuscrit dans un ancien temple en altitude dans les Andes. Ce manuscrit relate l’existence de colonies vénusiennes sur notre planète à l’époque dite "préhistorique"et l'assistance que les Vénusiens apportaient jadis à notre humanité en de nombreux domaines. Il précise également que leurs vaisseaux ont, à différentes reprises, sauvé les représentants les plus évolués d’humanités ayant précédé la nôtre de tremblements de terre, de raz de marée, d’inondations et même d’un précédent basculement des pôles, et qu’ils sont aujourd’hui prêts à recommencer.
Selon l’immense majorité des Amérindiens contactés par Williamson, la croyance en l’existence des Vénusiens était courante et normale dans l’Antiquité, jusqu’à ce que la censure imposée par l’Église et relayée par les gouvernements des pays occidentaux ne l’interdise.
Williamson affirme dans ses livres que certains Indiens qu’il a rencontrés conservent dans des capsules temporelles des manuscrits provenant de l'antique continent de Mu. À leur contact, il obtint des éclaircissements sur de nombreux sujets et des réponses à de nombreuses questions.
Dans "Les Gîtes secrets du Lion", qu’il publia à la suite de ces échanges, Il évoque les anciens maîtres de la Terre à l’époque où la race humaine était encore dans l'enfance. Il révèle que le savoir de nos prédécesseurs n'est pas totalement perdu car il reste consigné dans des archives secrètes accessibles à quelques très rares initiés qu’il a connus et rencontrés. Cet ouvrage intrigant et très recherché repose sur la traduction de très anciens manuscrits, conservés dans une cité occulte du Pérou et gardés jusqu’à "la fin des temps" par un mystérieux collège composé de 144 "Étudiants de la Vie".
Williamson y explique notamment que certains des "dieux" de l'Antiquité furent en fait des visiteurs de l'espace. Il révèle qui était Akénathon et pourquoi les Pharaons étaient appelés les "descendants du Soleil", indiquant au passage qu’il existe un temple secret sous le Sphinx et qu’un vaisseau spatial est enterré sous la Grande Pyramide. Il raconte comment Moïse traversa la Mer Rouge et ce qui se passa réellement au moment de la résurrection et de l’Ascension du Christ.
À la fin des années 1950, Williamson revint en Californie pour y être ordonné prêtre selon la Tradition Nestorienne (l’Ancienne Église de l’Orient), qui refuse de voir en Marie la mère de Dieu, mais la considère comme la mère d’un homme, Jésus qui ne fut lui-même visité par l’Esprit Saint que bien des années après sa naissance. (L’ésotérisme nestorien présente un autre aspect de Marie, celui de la Vierge Cosmique, épouse du Père Céleste et Mère des mondes). Puis il rejoignit l’Amérique du Sud.
En 1965, alors qu’il participait à une expédition archéologique au Pérou, il disparut mystérieusement, dans des conditions qui ne se sont pas sans évoquer l’étrange "volatilisation" de Nicolas Roerich dans les Himalayas et sa réapparition tout aussi mystérieuses des semaines plus tard. Certains le croyaient mort, d’autres étaient persuadés qu’il se trouvait à bord d’un vaisseau, d’autres encore estimaient qu’il avait rejoint (comme Roerich ?) une cité du monde intérieur à travers l’un des nombreux corridors d’accès à la Terre Creuse qui semblent exister dans la région de la Cordillère des Andes.
George H. Williamson, alias Frère Philippe,
quelque temps avant son étrange disparition de 1965
Personne ne sut jamais ce que fit Williamson au cours des 10 dernières années de sa vie. On sait simplement qu’il passa beaucoup de temps en Arizona.
Il faut savoir que, dans ses livres, George Hunt Williamson parle beaucoup de l'Arizona, qu'il traduit par "la Zone d'Or" (ARI- ZONA), et qu’il considère comme une terre magique et sacrée.
Notons au passage que le mot OR (UR, lumière) et le mot GE (Gaïa, la Terre) se retrouvent réunis dans le prénom GEORGE (GE-OR-GE) qu’on retrouve fréquemment chez les contactés : George Adamski, George Hunt Williamson, George King, George Van Tassel, Giorgio Bongiovanni ... Un autre grand contacté, Pierre Monnet, a déclaré un jour qu’il avait eu la vision d’un Ange en or en traversant la ville d’Orange (OR-ANGE).
Après son mystérieux séjour en Arizona, George Hunt Williamson revint une nouvelle fois en Californie en 1985 où il quitta définitivement notre plan d’existence quelques mois plus tard (en janvier 1986) dans des conditions également très mystérieuses, juste après avoir mis en évidence le problème posé par deux comètes qui avaient pénétré dans la ceinture du Soleil et en étaient ressorties intactes.
ERE NOUVELLE - OdR Août 2006
Annexe : Néfertiti au Tibet, par George Hunt Williamson
« Dans l'histoire de l'Égypte, il y a un moment où l’on ne trouve plus aucune trace de l'existence de Néfertiti. En fait, elle disparut vraiment, car elle quitta l'Égypte et se rendit dans une École de Mystères du Tibet. Sa fabuleuse beauté et sa grande richesse ne la détournèrent jamais de l'Œuvre. Elle relata aux Grands Maîtres et Adeptes de l'Inde, du Tibet, et même du Pérou, près du lac Titicaca, le travail des fidèles d'Aton et leur expliqua à quel point l'Expérience Divine avait réussi en Égypte.
Un jour, des tablettes d'argile seront découvertes dans ces École Mystérieuses, et on s'apercevra qu'elles ont été écrites par Néfertiti elle-même ! Mais elles ne furent pas apportées d'Égypte jusqu'à ces Écoles. Lorsque les savants examineront au microscope l'argile utilisée pour ces tablettes, ils constateront que celle-ci provient des régions où les tablettes furent découvertes, et non d'Égypte !... Preuve absolue que Néfertiti se rendit bien en ces lieux !
Ces manuscrits établiront des points très importants de l'Histoire. Il existe actuellement une très grande confusion dans le système de datation de l'Antiquité, parce que les prêtres d'Amon changèrent délibérément les dates sur certains monuments, dans l'intention d'effacer les événements survenus durant le règne d'Akhenaton. Ils voulaient être certains qu'Aton ne connaîtrait jamais une nouvelle Aube !
NOTE : Aton était le Dieu du Soleil. Il fut érigé en Dieu Unique par Aménophis IV devenu Akhenaton. Les prêtres d’Amon, qui servaient les Forces de l’Ombre, s’opposèrent au culte d’Aton et firent assassiner Akhenaton.
Les forces négatives voulaient décourager les futurs chercheurs, et les empêcher de découvrir la vérité sur la vie et l’œuvre d'Akhenaton. D'un autre côté, il incom¬bait aux fidèles d'Aton survivants, de préserver les manuscrits pour l'homme futur. C'est pourquoi Néfertiti déposa des écrits, relatant leur histoire, en différents endroits au Tibet, aux Indes et en Amérique du Sud. D'autres fidèles en déposèrent au cœur de la Terre elle-même... La Vérité devait demeu¬rer accessible !
Durant son périple, Néfertiti fut toujours protégée par les mains d'Aton tendues vers la Terre : « La Dame royale, Dame de grâce, douce par son Amour; grande par son Amour; Maîtresse du Nord et du Sud, chérie par Aton, l'épouse du Roi, qui l'aima, la belle Néfertiti est vivante pour l'éternité... »
À cette époque, deux jeunes hommes à la peau brune reçurent l'ordre d'Aménophis (Iemhotep dans une autre incarnation) de venir en Égypte et de servir de gardes du corps au Pharaon Toutankhamon. Du moins, ce fut la raison apparente de leur venue. Mais, en réalité, ces deux hommes étaient des adeptes de la "science mentale". Ils descendaient d'une très vieille et très savante race qui existait en Afrique, alors que la civilisation de l'Atlantide ne faisait que commencer. Ce peuple étrange ne possédait pas une culture très avancée d'un point de vue matérialiste mais le développement mental des individus était étonnant. Ceux-ci pouvaient arrêter des armées en marche, grâce à de puissantes ondes de pensées et à des vibrations mentales !
Les deux hommes, qui étaient des frères jumeaux, étaient les fils d'un grand Adepte de la Magie Blanche; ils furent envoyés en Égypte avec la double mission, de protéger, d'abord, le Pharaon, ensuite, d'émettre autour de certains temples et de certaines chambres secrètes, des ondes vibrationnelles de pensée, d'un genre particulier : ces ondes devaient persister à travers les siècles et écarter des emplacements secrets des manuscrits tous les chercheurs indésirables, intrus dont la fréquence mentale était opposée à la leur.
Il faut mentionner ici que, dès la mort d'Akhenaton, le "Petit Exode" des Hébreux commença. Étant donné la confusion politique et l'atmosphère de guerre civile qui régnait, les Égyptiens n'y prêtèrent aucune attention. Il leur importait peu qu'ils partent ou qu'ils restent. Aussi, beaucoup quittèrent l'Égypte, ainsi qu'un certain nombre d'Égyptiens fuyant la colère d'Amon. Alors commença l'Exode. Il dura plusieurs années. Il eut lieu par vagues successives de petits groupes s'en allant à différents moments, jugés opportuns. Mais un "Grand Exode" s'ensuivit…
Maya (qui était le Trésorier Royal) se sentit alors dans une position très assurée, puisqu'il était le seul dans toute l'Égypte à détenir le secret des entrées vers les salles des trésors, sous la Grande Pyramide, sous le Sphinx - et dans le Temple des Splendeurs d'Hatshepsout. Les Pharaons eux-mêmes avaient les yeux bandés lorsqu'il les conduisait dans ces chambres!
Plusieurs milliers d'années avant la XVIIIème Dynastie d'Égypte, Maya avait été le Prince régnant de Lémurie, Ilipaamun avait été la "Dame du Soleil" et Toutankhamon avait été "Merk". Nous trouvons donc, à cette période, les mêmes entités réunies à nouveau, pour une même tâche commune!
Toutankhamon servait une fois de plus de Messager, transmettant des instructions, issues de plans supérieurs. Maya conduisait son peuple une nouvelle fois, et Ilipaamun était historienne et gardienne des manuscrits. Dans la maison de Maya, de très nombreux témoignages furent inscrits sur des tablettes d'argile et des papyrus, par tous ceux qui se retrou¬vaient là régulièrement.
Ces tablettes n'ont pas encore été découvertes lors des fouilles archéologiques, mais elles le seront bientôt. Elles relatent la venue du Peuple de l'Espace en Égypte, l’histoire des premiers Pharaons qui furent des extraterrestres avant de s'incarner sur Terre, pour apporter la Lumière à l'humanité. Elles révèlent le but réel de la vie et de l'œuvre d'Akhenaton. Il y a même des manuscrits apportés d'autres planètes habitées!
Peu de temps après que tout ce travail eut été effectué dans la maison de Maya, la princesse Meriten, fille d'Amenhotep III et de Sitamun, fut assassinée par des pillards dans la ville d'Akhtaton. Elle se trouvait dans l'atelier de son amant, le grand artiste Thotmès, fils aîné de Cato. Thotmès sculpta le buste de Néfertiti connu du monde entier, en pierre calcaire peinte. Il exécuta aussi le grès brun représentant la même gracieuse dame, de nombreuses têtes et des masques d'Akhenaton lui-même ainsi que d'autres œuvres remarquables.
Bek et Auta, les frères de Thotmès, avaient été assassinés à Thèbes, la nuit où, à Akhtaton, le Pharaon Akhenaton fut assassiné. Et lorsque Thotmès et Meriten furent surpris et tués par des pillards, ils venaient juste d'enterrer précipitamment le fameux buste de Néfertiti. Ce dernier devait être découvert des siècles plus tard par une expédition allemande, durant les fouilles de Telel-Amarna.
Meriten était elle-même une artiste. Elle avait étudié les symboles anciens. Elle avait été chargée de la décoration du temple d'Aton à Akhtaton.
Maya s'était rendu dans les chambres secrètes, souterraines, de la Grande Pyramide, et il en avait rapporté un antique bâton-vril qu'il donna à Toutankhamon. Ce vril protégea ultérieurement le roi-enfant. Certaines statues de Toutankhamon le représentent, tenant à la main d'étranges "baguettes".
C'est à cette même époque que Maya prit deux des boules de cristal, amenées à l'origine par les visiteurs de l'espace durant la construction de la Grande Pyramide. Chacune de ces boules était faite de neuf sections, assemblées et soudées entre elles pour former un globe ou une boule. Lorsque la lumière passait à travers la boule, celle-ci se transformait d'une façon tout à fait extraordinaire, et l'on pouvait voir partiellement le passé et le futur! Mais l'utilisateur de la boule de cristal devait parvenir à un niveau élevé de concentration mentale pour obtenir ce résultat.
Ces boules étaient utilisées télépathiquement, com¬me un écran, pour explorer le temps. Les prêtres d'Amon n'étaient pas au courant de leur existence. De toute façon, ils n'auraient pu en tirer aucun parti, car ces globes ne pouvaient être utilisés dans un but négatif! Plusieurs de ces boules de cristal se trouvent toujours sous le Sphinx! Nostradamus en possédait une, et elle lui servit considérablement pour ses prophéties!
Le globe et le sceptre des souverains ultérieurs ont pour origine cette boule de cristal et le bâton-vril... anciens symboles du pouvoir! »
Extrait de "Les Gîtes secrets du Lion"
de George Hunt Willamson – 1958
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